Page 70 - AQMAT magazine Hiver 2020

Gestion
La qualité des responsabilités confiées, également
Au cours des 3 dernières années, qu’a fait l’entreprise pour rehausser sa réputation
ou son image d’employeur auprès des employés actuels et potentiels pour les attirer et les retenir ?
20 % Ambiance de travail 14 % Passion envers les produits / services vendus 12 % horaire de travail 11 % Proximité du domicile 11 % Possibilités d’avancement 11 % Salaire et conditions de travail 10 % Passion envers les services à la clientèle 9 % Ne sais pas, ne répond pas 2 %
Tâches et responsabilités intéressantes
Le salaire n’arrive en haut des attentes que pour un employé sur dix parmi les sondés.
La qualité des tâches est deux fois plus importante. L’ambiance de travail aussi a son impact.
Conserver des diplômés, pas facile !
Pour quelle raison souhaiteriez-vous ne plus être à l’emploi de votre employeur actuel dans 3 ans ?
Études seront terminées 33 % Salaire et conditions de travail 27 % Départ à la retraite 10 % veut partir en affaires/fonder son entreprise 8 % Changement de carrière 7 % relation avec les supérieurs hiérarchiques
3 % 3 % 3 % 1 %
horaire de travail irrégulier
Absence de possibilité de promotion
Difficultés à travailler avec le public
retour au études 1 % Fermeture de l’entreprise 1 % Ne sait pas, ne répond pas 2 %
Semble-t-il qu’il faut savoir assumer ses contradictions puisque même si le salaire
n’est pas ce que recherchent prioritairement les employés, c’est quand même la deuxième plus importante des raisons qui motivent ceux qui partent, après le retour aux études, facteur contre lequel personne n’y peut rien.
en pandémie, une prime financière avant tout
Quel principal ajustement aux conditions de travail auriez-vous aimé que votre employeur mette en place en priorité pendant la pandémie ? Ne sait pas,
ne répond pas
Autres attentes
Boni au risque
14 %
36 % 22 %
28 %
70 hiver 2020 AQMAT MAgAzine
Aucun ajustement
Si 42% des employés répondants
ne manifeste aucune attente particulière envers son employeur pendant la pandémie, il reste que 36 % apprécieraient un boni
au risque. La réduction des heures, l’ajout
de mesures sanitaires, l’augmentation
des effectifs, autant de mesures qui,
au total ne représentent que 22%
des autres demandes.