Page 235 - La croyance de l'unicité
P. 235

L La a   c cr ro oy ya an nc ce e   d de e   l l’ ’u un ni ic ci it té é    235

                               La célébration des fêtes dites religieuses, les événements
                           comme l’ascension de l’hégire. Tout ceci n’a aucun fondement.

                               Les pratiques exercées durant le mois de rajab, comme les
                           adorations spécifiques à ce mois, à l’exemple de la prière et du
                           jeûne surérogatoire. Elles n’ont, en fait, rien qui ne les différencie
                           dans ce mois du reste des autres mois, que ce soit à propos du
                           jeûne, de la prière, des sacrifices ou autres.

                             Les différentes invocations soufies. Elles sont non conformes
                           aux invocations légitimes dans leur forme et le moment de leur
                           pratique.

                             Caractériser la nuit du milieu du mois de cha’bane en priant,
                           ainsi que son jour en jeûnant. Il n’y a aucune preuve de la sunna
                           du prophète  à propos de cela.
                             La construction d’édifices au dessus des tombes, et les prendre
                           comme lieux de prière, leur visite en quête de bénédiction, la
                           sollicitation des morts et autres actes polythéistes. La visite des
                           femmes, alors que le prophète  a maudit celles qui visitent les
                           tombes. Ceux qui les prennent comme des mosquées ou
                           accrochent auprès d’elles des lanternes.

                                Conclusion
                                Conclusion
                            Les innovations conduisent tout droit à la mécréance, elles
                           représentent un surplus dans la religion dont Allah et son
                           prophète   n’ont pas légiférées. L’innovation est pire que les
                           grands péchés, le diable s’en réjouit plus qu’il ne se réjouit des
                           grands péchés, car celui qui commet un grand péché le reconnaît
                           et demande pardon (à Allah) de cela. Par contre, l’innovateur
                           pratique les hérésies en tant que culte, il ne peut donc se repentir
                           de cela. L’innovation prend la place de la sunna et rend la pratique
                           de la sunna, ainsi que ses adeptes, détestables auprès des
                           innovateurs. L’innovation éloigne d’Allah et implique sa colère et
                           son châtiment et cause l’égarement et la détérioration du cœur.
   230   231   232   233   234   235   236   237   238   239   240