Page 9 - Nathalie Nkum
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NATHALIE NKUM 05/10/2020
Après la réussite de ces tests j’ai négocié 9 mois durant l’obtention d’un stage; le stage est le
passage obligé pour travailler avec cette organisation.
Au bout de ces 9 mois, j’ai obtenu 03 mois de stage à l’Office for Africa de cette Organisation
Internationale.
J’ai démarré mon stage le 4 Février 2014. Mon but étant, à la fin de ces 03 mois, d’obtenir
un contrat de Recherches en Économie- Emploi de 2/3 ans au plus grand maxi, pour dresser ma
stratégie de ré-industrialisation pour le Cameroun. Cette Organisation Internationale est en mesure
de me fournir un excellent professeur d’écontinue du développement pour encadrer mes
recherches.
Au moment où je débute mon stage, l’Organisation Internationale doit me fournir une Carte de
légitimation sur la base de mon passeport validé, Carte de légitimation tenant lieu de Titre de
séjour pour les fonctionnaires internationaux.
Or, dans les faits, la loi telle que stipulée, ne s’applique qu’aux ressortissants de 5 Continents, sur
les 6, que compte le Monde. La loi ne s’applique pas, quand il s’agit des ressortissants Africains.
Donc, l’Organisation Internationale, au lieu de me donner ma Carte de légitimation m’a délivré en
lieu et place, un récépissé de demande de carte de légitimation, garantissant ainsi, ma fragilité
administrative à l’intérieur de cette Organisation.
Des semaines après le début de mon stage, une intrigante, parfaitement au courant de mes
énormes problèmes de vue, a délibérément placé la table de mon bureau sous la lumière drue et
saisie l’occasion des objections que j’avais soulevées au sujet de cet emplacement pour orchestrer
l’interruption abusive de mon stage si durement négocié. La Directrice des Ressources Humaines,
saisie en résolution du conflit, a assis la discrimination à mon encontre, en tranchant en faveur de
l’intrigante et en me demandant de fournir une carte de séjour à l’Organisation Internationale pour
reprendre mon stage et pouvoir ensuite négocier mon contrat de recherche.
Je me suis tournée vers l’OCPM de Genève en 2014, 2015, 2016, 2017 et dans sa dernière
correspondance de 2017, l’OCPM m’a affirmé que ma demande de reconsidération de leur décision
était à l’étude. Le même OCPM choisit en Octobre 2019, de se récuser, de ne plus entrer en
matière sur mon dossier au moment où précisément, je me retrouve empêtrée dans un embroglio
administrativo-judiciaire en France, suite au rapport d’un procès-verbal mensonger dressé par des
douaniers français de la douane de Ferney-Voltaire.
Je passe 5 mois, privée de liberté, je ne m’en sors que par la Grâce de DIEU.
Je reviens à Genève le 9 Février 2020, je saisis le Conseiller d’État à la Sécurité en Mars 2020, -
parce que plusieurs organisations auxquelles j’ai soumis mon problème - m’ont fait comprendre
que ledit Conseiller chapeautait l’OCPM; donc je prends le temps de lui expliquer l’injustice dont je
suis victime de la la part de l’OCPM de Genève, estimant que c’est le Responsable le plus à même
de suppléer à cette injustice. Il s’est avéré que je me trompais assez lourdement.
Je continue donc à chercher le décideur suisse qui pourrait m’obtenir la licence qui me permettrait
de parachever ma stratégie de ré-industrialisation.
Ps: Je cherche une personne qui croit foncièrement en DIEU
Et tous ceux qui seraient tenter de me conseiller d’aller en justice, svp, je vous en prie, passer
votre chemin. Je suis venue à Genève pour dresser une stratégie de ré-industrialisation pour le
Cameroun et non pour traîner l’administration genevoise devant les tribunaux.
Cordiaux remerciements,
Ms. Nathalie Nkum