Page 140 - 2024-10-02-Diabète, mélanome, cancer d'un polype diu côlon, leucémie rarissime
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•  Cependant,  comparé  aux  thérapies  conventionnelles,  ces
                    inhibiteurs offrent un profil d'effets secondaires plus ciblé et
                    potentiellement moins toxique.
            6. Perspectives Futures
                •  Recherche en cours : Des essais cliniques supplémentaires
                    sont  en  cours  pour  affiner  l'utilisation  du  Pemigatinib  et
                    d'autres  inhibiteurs  du  FGFR  dans  le  traitement  des
                    néoplasmes  myéloïdes/lymphoïdes.  Ces  essais  visent  à
                    déterminer   les meilleures     doses,    les combinations
                    thérapeutiques et l'impact à long terme sur la survie.
                •  Autres thérapies émergentes : En plus des inhibiteurs du
                    FGFR1,  d'autres  thérapies  ciblées  et  immunothérapies  sont
                    également à l'étude pour traiter ce type de cancer. Par exemple,
                    les  traitements  qui  modulent  le  système  immunitaire  pour
                    attaquer  les  cellules  cancéreuses  anormales  montrent  un
                    potentiel dans les études précoces.

            Conclusion
            Le néoplasme myéloïde/lymphoïde avec réarrangement FGFR1 reste
            un cancer rare et agressif, mais les progrès récents dans les traitements
            ciblés, comme le Pemigatinib, ont montré des résultats encourageants.
            Ces traitements offrent une nouvelle voie pour améliorer le pronostic
            et la qualité de vie des patients. La survie à long terme et la rémission
            complète ne peuvent pas encore être garanties dans tous les cas, mais
            les résultats actuels suggèrent un avenir prometteur pour les patients
            traités avec ces nouvelles thérapies.
            Pour des données plus précises sur les résultats des essais cliniques et
            des statistiques actualisées, il est toujours recommandé de consulter
            les  publications  scientifiques  et  de  suivre  les  mises  à  jour  des
            organismes de recherche spécialisés dans les cancers rares.








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