Page 106 - RENA3
P. 106

2-6


                                     Siege de d’Antioche



                        21 octobre 1097 au 2 juin 1097



                       Mesdames, vos tentes marcheront avec mon ost’, vos

               filles auront à Antioche la protection de tous mes hommes.

               Après de longues semaines de marche dans la poussière et la

               souffrance.


               L’armée d’Occitanie mêlé à d’innombrables contingent du

               nord et d’Italie s’élance vers l’orient, mille bannières flottent
               sur les chemins caillouteuse, poussiéreuse d’Anatolie, les

               chevaux trébuchent, la souffrance s’installe apparait de plus en

               plus dure a supporté. Seule la foi les aides a avancés.


               Il fait chaud, l’eau est rare, les gémissements des malades se

               mêlent aux prières.

               Garcin marchant à côté des charrois-hôpital tenant une masse
               sur son épaule, Raymond suit son père armé d’une épée.


               Etienne accompagne désormais les charrois des dames Elvire

               de Saint-Gilles et de Eloïse de Nogarède.
               Il n’est plus un simple. II renforce, il sait se battre et il veille

               sur Alazaris comme un chien fidèle, mais amoureux.


               Une nuit alors que le convoi s’était arrêté près d’un petit

               village déserté.

                Alazaris veille auprès d’un enfant blessé.                                                      RENA - Les Compagnons Forgerons

                      -Tu n’as pas peur ? Demanda doucement Etienne,
                      - Peur de quoi, de ce qui arrive, c’est la croix qui me

               guide.

                Etienne s’approche elle


                                                                                                         - 102 -
   101   102   103   104   105   106   107   108   109   110   111