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Siege de d’Antioche
21 octobre 1097 au 2 juin 1097
Mesdames, vos tentes marcheront avec mon ost’, vos
filles auront à Antioche la protection de tous mes hommes.
Après de longues semaines de marche dans la poussière et la
souffrance.
L’armée d’Occitanie mêlé à d’innombrables contingent du
nord et d’Italie s’élance vers l’orient, mille bannières flottent
sur les chemins caillouteuse, poussiéreuse d’Anatolie, les
chevaux trébuchent, la souffrance s’installe apparait de plus en
plus dure a supporté. Seule la foi les aides a avancés.
Il fait chaud, l’eau est rare, les gémissements des malades se
mêlent aux prières.
Garcin marchant à côté des charrois-hôpital tenant une masse
sur son épaule, Raymond suit son père armé d’une épée.
Etienne accompagne désormais les charrois des dames Elvire
de Saint-Gilles et de Eloïse de Nogarède.
Il n’est plus un simple. II renforce, il sait se battre et il veille
sur Alazaris comme un chien fidèle, mais amoureux.
Une nuit alors que le convoi s’était arrêté près d’un petit
village déserté.
Alazaris veille auprès d’un enfant blessé. RENA - Les Compagnons Forgerons
-Tu n’as pas peur ? Demanda doucement Etienne,
- Peur de quoi, de ce qui arrive, c’est la croix qui me
guide.
Etienne s’approche elle
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