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La comtesse pose une main sur celle d’Eloïse.

                      - je suis venue, ma sœur pour finir mes jours parmi vous.
               Les guerres, les palais, les querelles, tout cela s’éteint.

                      Il me reste que les âmes qui se sont aimées et les foyers

               ou brule encore la fidélité.


               Pierre-Raymond :

                      - restez madame cette maison, est la vôtre.


               Lamagère, gardera votre nom et votre souvenir comme une
               flamme.


               On apporte à la comtesse manteau sec, on lui sert du vin

               chaud.

               La neige continu de tomber sans bruits, comme si le ciel lui-

               même bénissait la réunion de ces cœurs fidèles
























                                                                                                                RENA - Les Compagnons Forgerons























                                                                                                         - 305 -
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