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Alors que romain approche, un esclavon surgit de derrière un

rocher, blessé mais prêt à tuer, il lève la lame en hurlant.
Romain à bout de force ne put que lever un bras. Mais, la lame

ne s’abattit jamais. Etienne fondit sur le guerrier esclavon, il le

Heurte de côté, lui enfonce son poignard sous les cotes, le

guerrier s’effondra.

Etienne se tourne vers romain haletant,
- tu es blessé ?

-non pas de trop, mais Raymond, oui.

Ils se précipitèrent vers Raymond, qui respire encore. Etienne

le soulève par les épaules Romain le pris par les jambes.

En silence, le porte jusqu’à l’abris d’une paroi et dépose
Raymond.

Romain se laisse tomber de fatigue, regarde Etienne

longuement,

-je croyais que tu n’étais qu’un rodeur, un lâche, un traine

misère. Etienne ne répondit pas.
-tu nous a sauvé.

Etienne dit simplement,

-je ne cherche pas qu’on m’aime, mais je ne veux plus

qu’on est peur de moi. Romain il faut amener ton frère a la

charrette Hospital.
Constance et Etienne placèrent Raymond dans la

charrette, donnèrent les premiers soins.

Romain hocha la tête, pour la première fois, il ne le vit

plus comme un intru, ni un voleur.

Plus tard alors que le camp dresse des toiles de fortune, Carole RENA - Les Compagnons Forgerons

posa la main, une main sur l’épaule de Romain.

-Tu t’es battu comme un Lion tu peux être fier.

Mais Romain répondit doucement

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