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HISTOIRE
• Entre 30 000 et 40 000 hommes
(infanterie, cavalerie, artillerie)
• Approvisionnement :
• Stockage de poudre, vivres et matériaux
de siège
• Mise en place d’un dispositif pour ravitailler
la flotte en mer.
3. Chef militaire sur le terrain
Le rôle de Charles Quint dans la prise de Tu-
• Choix du lieu de débarquement :
nis
• La Goulette, porte d’entrée naturelle vers
Charles Quint est le commandant en chef et le
Tunis
cerveau politique de l’expédition de 1535. Il
définit les objectifs, coordonne les moyens mi- • Permet un début de siège rapide et une
litaires et diplomatiques, et assure le finance- liaison directe avec les artilleries
ment de l’opération. • Supervision des grandes phases du siège :
• Déploiement des batteries d’artillerie
1. Stratège et donneur d’ordres • Encerclement des murailles
• Fixe les buts de la campagne : • Coordination des attaques simultanées.
• Chasser les corsaires ottomans de la côte
nord-africaine 4. Acteur diplomatique et gouver-
• Restaurer une dynastie hafside vassale de neur provisoire
l’Espagne
• Négociations de reddition :
• Sécuriser les routes maritimes entre l’Italie,
• Offre des conditions visant à limiter les
Malte et l’Espagne
destructions
• Convoque une coalition hétérogène :
• Obtient la capitulation sans mettre la ville à
• Espagne, principautés italiennes, cheva-
feu et à sang
liers de Malte.
• Installation d’un pouvoir chrétien :
• Génére un front uni contre l’expansion ot-
• Réintroduction d’un sultan hafside allié
tomane.
• Casernement de garnisons espagnoles
pour garantir la loyauté.
2. Organisateur logistique et finan-
cier Réaction des Ottomans
• Mobilisation des ressources : à la prise de Tunis (1535)
• Près de 300 galères et 500 navires de
transport
