Page 74 - MOBILITES MAGAZINE N°64
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 mobilité urbaine / PRISE EN MAINS
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  1 - Le panneau côté gauche est hélas dépourvu de tout rangement. Il sert aux pupitres de chauffage et climatisation conducteur et reçoit les commandes de frein de parc (placé trop bas) et de réglage électrique des rétroviseurs extérieurs.
2 - Le volant offre une couronne et une jante de bon diamètre facilitant la préhension. La commande de frein d’aide à l’exploitation fait « bricolé » mais elle est très précieuse car plus sécurisante que le Hill Holder Volvo.
3 - Le mode de fonctionnement hybride est rappelé, fort justement, dans l’afficheur central. Moteur froid (visible ici au thermomètre de circuit de refroidissement), la coupure n’est pas systématique à l’ouverture des portes.
4 - Le plancher conducteur est très bien conçu avec un vaste repose-pieds. Les pédales sont articulées « à l’ancienne ».
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   gements de rapports. Car, comme son pendant électrique, le Volvo 7900 S-Charge a recours à une boîte mécanique robotisée. Ici une Volvo I-Shift AT2412F associée à un embrayage mono-disque à sec. Volvo parle fort abusivement de « boîte auto- matique » dans sa brochure mais il n’y a pas de convertisseur de couple ni de trains épicycloïdaux. Un pari technique particu- lièrement audacieux pour un véhicule ur- bain, car si cette boîte est éprouvée depuis des décennies sur les camions lourds de la marque Suédoise, le nombre de cycles de changements de rapports subis par un autobus urbain n’a rien à voir. Dans les faits, c’est précisément en usage péri-ur- bain que le Volvo 7900S-Charge donne le plus de satisfactions côté passagers car ces changements sont moins fréquents. La meilleure répartition des masses, du fait de la suppression des packs de bat- teries en toiture, se fait sentir positivement en termes de confort et de comportement
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