Page 44 - livre numérique il faut sauver mathilde
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-Tiens, voilà, je te ramène ta robe et encore merci de me l'avoir prêtée, c'était une soirée
géniale. Mais avant j'aimerais te parler.
-Merci, et il n'y a pas de quoi. Allons dans le salon.
-Jeanne, en fait, hier en sortant du fiacre, ta robe s'est accrochée et s'est déchirée. Je suis
vraiment navrée, mais je pourrai te la recoudre ne t'inquiètes pas.
-Mince ! Ce n'ai pas grave ma chère. Je te propose que nous la réparions maintenant,
ensemble.
Faits divers
Blanche Paymal-Amouroux