Page 33 - Projet Restauration MD3
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Alain Passard


                      Né le 4 août 1956 à La Guerche-de-Bretagne, très jeune il se passionne pour la gastronomie
               auprès de sa grand-mère et décide d'en faire son métier. Il a commencé sa carrière comme rôtisseur
               au service de la cuisson des viandes alors qu’il est aujourd’hui considéré comme le « le chef
               sculpteur des légumes »



                      Il démarre sa vie professionnelle à 14 ans à « l’Hôtellerie du Lyon d’Or » à Liffré sous la
               houlette de Michel Kerever puis, de 1976 à 1977, travaille à « La chaumière » à Reims sous les
               ordres de Gérard Boyer. Son apprentissage le mène au restaurant parisien trois étoiles
               L'Archestrate auprès de son maître Alain Senderens.


                      De 1980 à 1984, c’est au restaurant du casino d’Enghien « LeDuc d’Enghien » qu’il
               poursuit sa carrière et devient, à 26 ans, le plus jeune chef récompensé par deux étoiles Michelin.

               Son apprentissage le mène au restaurant parisien trois étoiles L'Archestrate auprès de son maître
               Alain Senderens.


                      Dans les années 90, retour aux sources : Alain Passard rachète l'Archestrate et le
               rebaptise L'Arpège, du fait de sa passion pour la musique. Une année lui suffira pour avoir sa
               première étoile jusqu’à en compter 3 en 1996.



                      « Je pense être allé assez loin dans le domaine de la volaille et de la viande. Aujourd’hui
               j’aspire à une autre exploration qu’est le légume »



                      En 2002, il achète son premier potager dans la Sarthe, le deuxième en 2005 dans l’Eure et
               le troisième dans la Manche en 2008. Ces trois terroirs ayant chacun leurs particularités, certaines
               variétés se plaisent dans la terre sablonneuse de la Sarthe, tels les carottes, asperges et poireaux,
               tandis que la terre plus lourde et argileuse favorise le céleri-rave et le chou, les rutabagas et autres
               topinambours. Quant au potager de la baie du Mont Saint Michel, il accueille les variétés qui
               peuvent bénéficier d’une influence maritime et d’une terre d’alluvions comme les aromates.


                      Ces trois terroirs ayant chacun leurs particularités, certaines variétés se plaisent dans la
               terre sablonneuse de la Sarthe, tels les carottes, asperges et poireaux, tandis que la terre plus
               lourde et argileuse favorise le céleri-rave et le chou, les rutabagas et autres topinambours. Quant
               au potager de la baie du Mont Saint Michel, il accueille les variétés qui peuvent bénéficier d’une
               influence de la mer et de la terre.













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