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Quel futur dans ce domaine ?

Figure 28 : Fonction de détection de carie par fluorescence (Trios4).

Les praticiens se trouvent maintenant confrontés à un embarras du choix en matière d’équi-
pement et ce changement d’habitudes est une étape parfois difficile à franchir. De nombreux
articles et ouvrages permettent d’orienter ces choix (9,10) .
Pour les fabricants, la concurrence devient rude, très récemment, avec l’apparition de camé-
ras venues d’Extrême-Orient. Par exemple, la caméra Medit I500 est à un tarif très agressif,
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a amené les autres fabricants à revoir leur offre commerciale pour rester concurrentiels dans
les modèles d’entrée de gamme, au moins. La baisse généralisée des tarifs rend l’accès plus
facile à cette technique.

4. Quel futur dans ce domaine ?

La projection à long terme est presque impossible à faire tant l’évolution de ce domaine est
rapide. La première étape est l’adoption plus généralisée de l’empreinte optique dans les
cabinets dentaires qui a atteint sa maturité. Il ne s’agit plus d’attendre pour s’équiper, car les
applications actuelles sont déjà étendues et performantes.
On peut imaginer une implication grandissante de l’intelligence artificielle dans les logiciels
de conception qui seront basés sur le web. Le projet esthétique et technique sera disponible
immédiatement en intégrant l’ensemble des différentes données d’imagerie du patient. Cela t
les dents, mais aussi les tissus sous-jacents. Ces techniques n’ont pas connu de développe-
ment depuis les années 1980, et elles ne sont pas assez précises pour l’utilisation envisagée.

La technologie avec les rayons X gagne en précision. Elle est utilisée en association avec les
empreintes optiques pour les projets chirurgicaux, mais pas isolément. De plus, il ne semble
pas raisonnable de soumettre le patient à une dose d’irradiation pour de simples applications
de prothèse.

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