Page 11 - Le monde futur vu par les 5eB

En 2090, les terres etaient tellement polluees qu’elles n’etaient plus habitables.

Meme les animaux ne purent pas survivre (sauf ceux sauves par l’homme) au pic de

/

pollution que l’humanite avait connu en 2050 et qui avait tue plus de ¾ des hommes.
Alors, depuis ce moment l’humain se decida de quitter les terres pour les oceans

moins pollues. En quelques annees tous les hommes partirent dans d’enormes bulles
au beau milieu de l’ocean.

Ces bulles en plexiglas renforce se composaient en plusieurs etages. Au toucher

elles paraissaient lisses et indestructibles. Nous n’entendions aucun bruit exterieur.

L’etage superieur etait consacre pour l’agriculture et l’elevage pour essayer de

capter le plus d’UV. Une delicieuse odeur de fleur se deplaçait dans l’air pur. Le plaisir

et la satisfaction de toucher une herbe si douce etait infinie. Les fruits qui poussaient

dans les arbres de l’etage etaient delicieux. Cette campagne, je la quittai pour partir

vers la metropole qui se trouvait juste en dessous.

Les etages du milieu eux etaient destines aux habitations et aux commerces.

Au centre de la ville, l’afflux de voitures electriques ne cessait jamais mais au moins
c’etait silencieux, pas comme sur Terre ou les voitures passaient en faisant beaucoup

(
de bruit tout en polluant!
(

En se promenant au centre de la ville ou plus regulierement appele le cœur de le

Bulle nous pouvions trouver des petits commerces familiaux comme d’immenses zones
commerciales. Depuis peu de temps des restaurants avaient fait leur apparition un peu
partout. Quand on entrait dedans, une senteur divinement bonne nous parvenait au

nez. Tous ces restaurants proposaient des menus exquis et varies. Mais la Bulle n’etait
pas que nature et ville !

Pour finir, l’etage inferieur servait de zone industrielle. C’etait une partie de la

Bulle ou la pollution etait tres presente, au point qu’il etait oblige de porter tout un

(
(

equipement de protection pour eviter de mourir asphyxie par le gaz.

(
Quand on arrivait enfin a l’etage on nous obligeait de mettre une combinaison

etanche, un masque a gaz, des gants et des chaussures speciales. Une fois equipes nous

(

arrivions. Je vis d’immenses usines et centrales electriques ou encore l’arrivee des

egouts ! Tous les hommes qui y travaillaient etaient equipes comme nous. L’air se

(
montrait irrespirable, des nuages gris de pollution flottaient dans l’atmosphere.