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En fait, pour ma part, la singularité de cette photographie est
l’intérieur noir d’un cercle qui porte tout l’espace, il est entre
rupture et ouverture…
Le fossoyeur au cachot des regards ouvre la terre à l’argile et
les larmes du temps se cendre sur les os dépolis, la Lune prie
devant les feux follets embrassant la nuit aux mains froides…
Le hasard est comme l’espoir, il est fait pour colmater une
absence… De fait, intégrer : existence et hasard est en
opposition avec le sens même de la vie. La vie est le fruit d’un
développement… c’est comme (pour imager et paraphraser) la
maison surgit du hasard… ou que l’arbre surgit du hasard,
c’est de la même eau…
L’oreille dompte le conteur, ergote le pasteur, favorise le
séducteur, chipote le rédempteur… mais toujours à sa boucle
aime l’onde du chant…
Maturité et pépins… ado idem et tranches de vie déjà
devenues mais aussi en devenir… ado idem ; bref, il y a des
vrais liens… et la maturité a du beau, de la saveur, du rêve…
ado idem…
Écailles du Temps chronophage la lumière et l’ombre s’habille
en arc-en-ciel au froid sol, dehors la sculpture d’un temps
aboie le jour…