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A terre de terre vers à l’envers au labour sabots de mer de
        terre boue en boueuses heures soleil dans l’œil du cyclone de
        la sueur grossière et sincère terre à la roncière du temps des
        mains   caleuses   à   cet   hommage   rendu   ils   ont   été   nos
        nourrices… merci






        Il y a des nuits comme ça on est au parloir du temps…





        Il suffit d’une seule personne pour être… invisible.





        La réalité de cet instant n’est pas la réalité de l’après instant
        mais interprété comme vérité… ce qui est juste en soi car le
        ressenti est bien présent à cet… instant.





        Quai   à   quai   l’embranchement   à   deux   souffles   d’un   seul
        mouvement embrasse l’attente à venir et à rebrousse bouche
        l’haleine   du   manque   prendra   son   parti   d’enfler   jusqu’à   la
        nouvelle heure du désir étriqué mais fidèle…




        Et pourtant il y a de l’avenir en surface mais le fond est déjà en
        caveau avec l’aimé.e et le temps s’étire, se frotte aux saisons
        une à une comme des minutes éternelles…



        Le point à la ligne avant que la ligne… naisse… le son avant la
        première note habillée…
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