Page 42 - Rapport de Licence

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une carrière pour agir ar ailleurs, les stages en agence seraient donc
pour moi l’occasion de confirmer ma volonté
Pd’exercer en cabinet d’architecte libéral. Après
avoir appris et expérimenté à l’école d’architecture,
et vécu plusieurs expériences dans des cabinets de
mon territoire, il me semble possible de certifier que
je souhaite travailler en tant qu’architecte libéral. Dès
la sortie de l’école ? Non. Je souhaiterais approfondir
et assimiler le maximum d’informations durant
quelques années en agence, pour ensuite, et c’est
encore une hypothèse, créer mon propre cabinet.
Des discussions avec des praticiens au cours de mes
divers stages m’ont aussi révélé la difficulté qu’est
d’exercer en son nom propre. Ils m’ont ainsi conseillé
de ne pas partir de zéro, et de plutôt reprendre une
agence aux gérants quittant le métier. L’entreprise
a ainsi une notoriété sur le marché. Cette période
future est encore, pour moi, pleine d’incertitudes.
Une chose est sûre, ma destinée se trouve dans une
agence d’architecture. Je ne pense pas me tromper.
Se pose ensuite la question du lieu : Où travailler ?
Où chercher des opportunités ? Dans quel territoire
intervenir ? La question reste très ouverte. S’installer
dans le Cotentin, mon lieu de naissance ? Sa faible
concurrence peut être vite contrastée par son
éloignement géographique et son côté enclavé.
Rester en Bretagne, ma région d’adoption ? Quoi
de plus humiliant pour un normand que d’immigrer
en Bretagne ? La solution est peut-être le territoire
de mon cœur, de nombreuses fois visité, et lieu de
vie secondaire de la famille : le Pays basque. Cette