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Portrait de Prof






      Parlez-nous de votre métier, pourquoi l’aimez-vous ?
     « Ce qui fait que je l’aime au quotidien c’est l’aspect technique et l’aspect humain,
     beaucoup de connaissances sur les règles de droits qui évoluent constamment, et

     qu’il  faut  adapter  tous  les  jours  à  des  situations  humaines.  Il  y  aura  toujours,  je
     l’espère,  l’intervention  d’avocats  pour  soutenir  les  clients,  plaider  leurs  dossiers  et
     trouver des stratégies juridiques. »

      Pourquoi avez-vous choisi l’enseignement ?

     « J’avais un père enseignant en lettres classiques. L’enseignement m’est revenu par
     le biais d’un ami de faculté de droit, lui-même intervenant, que j’ai retrouvé il y a une
     dizaine d’années. C’est un bon moyen de sortir d’un quotidien judiciaire assez lourd
     pour voir des gens qui ont des projets positifs et de modernité, une nouvelle façon
     de penser. Cela m’a également permis de conseiller ces mêmes étudiants, devenus
     salariés  ou  chefs  d’entreprises  dans  mon  cabinet.  L’enseignement  pratique
     m’intéresse  au  même  titre  que  l’enseignement  académique.  Au  départ  c’était
     surtout un challenge personnel mais qui m’a très vite passionné. »

     Selon vous, quels sont les atouts de l’ISG ?
     « Principalement le fait que le cursus soit constamment tourné vers l’international. Les
     étudiants se comportent comme dans une entreprise et les intervenants maîtrisent
     leur domaine d’intervention en tant que professionnels. Par ailleurs, les cours se font
     écho et s’articulent de façon cohérente. Sur l’ISG en elle-même c’est une structure
     à taille humaine, ce qui dynamise réellement l’ambiance de travail. »


     Quand un élève ne sait pas ce qu’il veut faire plus tard, que lui dites-vous ?

     « A ma génération on avait rapidement des vocations professionnelles, maintenant
     c’est l’adaptation qui compte. SI on ne sait pas ce que l’on veut faire plus tard, il n’y
     a aucune raison de douter puisque le déclic se fait très vite et que vous (les étudiants)
     avez une capacité d’adaptation très développée. Quand ce déclic viendra, vous
     pourrez mettre en pratique votre projet professionnel. »
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