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Louis Pellecuer sera soigné à Chambéry, Aix-les- Bains. Après une période de convalescence, il retourne au front le 8 juillet 1915.
« SANS NOUVELLES DE :
(La Gerbe n°14 du 1er décembre 1916, page 711)
Nous n’avons sur Louis Pellecuer, du groupe des Salelles, aucun détail nouveau sauf cette lettre, écrite par l’un de ses chefs et que l’on a bien voulu nous communiquer :
Ici se termine le récit de campagne de Louis Pellecuer sur ces mots « Et maintenant, à la garde de Dieu ». On peut imaginer que Louis Pellecuer ayant terminé ce premier carnet, l’a laissé en sécurité chez lui aux Salelles et qu’il a dû commencer un second carnet qui ne nous est pas parvenu.
“Le chasseur Louis Pellecuer est disparu depuis l’attaque du 5 octobre. Alors que la compagnie sortait de la tranchée pour attaquer, quelques camarades l’ont vu partir devant héroïquement ; puis personne ne se rappelle l’avoir revu.
La dernière lettre reçue par La Gerbe est datée du 8 septembre 1916.
Peu à peu l’inquiétude s’installe comme l’exprime bien ces deux échos publiés dans La Gerbe en novem- bre et décembre 1916 :
« POURRAIT-ON DONNER DES NOUVELLES : (La Gerbe n°13 du 1er novembre 1916)
... de Louis Pellecuer, du groupe des Salelles, sur le sort duquel l’on a de douloureuses inquiétudes. »
Peut-être est-il prisonnier ou blessé et recueilli par l’ennemi ! On ne sait. Aucun de ses camarades ne l’a vu tomber...”. »
Dans le Journal de marche et des opérations il est porté disparu le 5 octobre 1916.
Il est inhumé à la nécropole de Rancourt, tombe n°3504.
Cahier de Mémoire d’Ardèche et Temps Présent n°139, 2018
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EPILOGUE