Page 29 - AQMAT magazine Automne 2020

Gestion
nicolas Bélisle
a exposé
qu’une masse de produits unis par un univers commun dans un «marketplace virtuel »,
par exemple, des articles pour coureurs à pied,
des électroménagers, etc. offrent
à ces marques et aux réseaux
de magasins qui les tiennent
une démarcation sur l’internet plutôt que d’être dilués, voire perdus dans ce cyberespace. il peut en être ainsi pour les matériaux de construction.
Également, le programme veut promouvoir le rapprochement entre Pme pour favoriser la sous-traitance, le maillage, et ainsi optimiser les chances d’accaparer des parts de marché, en particulier les appels d’offres gouvernementales, parfois inaccessibles aux trop petits joueurs.
m. Darveau a ensuite schématisé les ressemblances frappantes entre la manière dont se font présentement les affaires et ce que propose la solution web du fait que plusieurs caractéristiques du marché sont prises en compte, notamment:
• seuls les produits vendus en quincaillerie et disponibles sur le marché canadien seraient affichés ;
• lacueillettedesproduitsachetéssurlaplateformeseferait généralement en quincaillerie ;
• les prix affichés seraient ceux choisis par les magasins ou leurs bannières.
l’avenir est aux marketplaces
nicolas Bélisle, qui cumule 30 ans dans les technologies de vente et marketing, dresse un constat. Devant la multitude de sites et d’outils de recherche sur le Web, il est laborieux et hasardeux pour les consommateurs et les acheteurs dans les entreprises de
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Le webinaire a permis de montrer que si une plateforme permettant l’achat
en ligne d’articles de quincaillerie et de matériaux résidentiels par
les consommateurs et les entrepreneurs est soutenue par l’écosystème physique existant, elle peut représenter une incroyable plus-value pour tous les actuels joueurs de la chaîne d’approvisionnement.
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