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Mes voyages en Harley-Davidson

provoqué des dégâts (qui plus tard ont été reconnus
comme mineurs), ce qui avait donné du grain à
moudre à un jeune journaliste du New York Times
qui, n'ayant pas grand-chose à envoyer à son journal,
en avait profité pour écrire que la petite ville était
tombée aux mains de motards qui l'avaient mise sens
dessus dessous. Publiée dans le New York Times,
cette information a fait - en quelques jours - le tour
des USA.
Le film "The Wild One" (l'équipée sauvage) de 1953
avec Marlon Brando a complété le tableau, et c'est
ainsi qu'est née la légende des mauvais garçons en
Harley-Davidson.

Les nouveaux dirigeants se sont donné pour
objectif de transformer Harley-Davidson en une
marque "familiale" et non plus "bad boys". Ils ont
donc décidé de ne plus sponsoriser les
concentrations qui, par exemple, continuaient à
favoriser des attractions - comme il était de coutume
– telle que l'élection de la femme avec la plus grosse
poitrine.
En 2006, j'ai participé à la 1 concentration
re
organisée par Harley-Davidson Europe. Plus de
7.000 aficionados se sont retrouvés à Port Grimaud
dans le golfe de Saint-Tropez. Nous y sommes allés à
5 motos. Des Harley-Davidson étaient sur toutes les
routes de Port Grimaud à Sainte-Maxime. De 6h00
du matin jusqu'au lendemain 3h00 du matin
résonnait le bruit caractéristique des Harley-

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