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Elle recule, glisse. Derrière-elle surgit son fils romain, une

               hache a la main. En deux mouvement l’homme se retrouve à
               terre.

               Eloise s’était levée droite comme une statue.

               Elvire le visage blême tenait dans ses mains une croix de fer,

               dame vous trembler.

               D'autres cris resonnent dans le camp.
               Des torches s’allument, le sergent Amiel organise la défense.

               Quelques voleurs furent capturés, deux autres furent tué, les

               autres prirent la fuite.

               Amiel et ses sapeur remis les voleurs au seigneur de

               Nogarède. Le plus âgé mourra avant midi et le plus jeune
               rejoindra les sapeurs.

                      -Amiel comment t’appelle tu ?

                      -Etienne, répondit le jeune homme


               Le silence revient lentement, les enfants continuaient à pleurer

               mais nulle n’avait été blessée dans le cercle des femmes.
               Plus tard autour du feu, Eloïse s’adressa à Carole :

                      -vous nous avez sauvées, sans armes.

               Carole calmement répondit,

                      -j’ai protéger la tente ou vous nous avez accueilli mes
               dames.

               Elvire encore tremblante murmura.

                      - Je pensais que la guerre était l’affaire des hommes, ce

               soir je sais que ce n’est plus vrai.


               Garcin qui n’avait rien dit, jusqu’à la déclara                                                  RENA - Les Compagnons Forgerons

               Ce soir la autour des flammes le cortège était plus uni qu’hier

               et les dames étaient vu autrement







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