Page 26 - BUSINESS PLAN - JUIN_Neat
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LES OBJECTIFS DU PROJET




        Cette entreprise va générer suffisamment de recettes pour me libérer du salariat et me permettre de
        travailler de n’importe où dans le monde.

        Ma marque de Matcha deviendra la référence mondiale, des ambassadeurs prestigieux et des récompenses
        internationales la positionneront durablement dans les plus beaux palaces et sur les Marketplaces
        d’Amazon.

        A la fin de la deuxième année je compte vendre au minimum 60 unités par jour dans le monde, ce qui
        représente un million de CA annuel.

        Fort de mon succès je pourrai ouvrir mon capital, ou faire de la dette pour racheter des concurrents en LBO.


        Je pourrais également créer des marques propriétaires pour les palaces ou les maisons de thés.

        Une fois ma position verrouillée, j’automatiserai ce business pour pouvoir lancer un autre produit, avec la
        même méthode, et j’ai déjà ma future cible en vue. Le thé Matcha n’est que la première pierre de mon
        entreprise, je veux créer le LVMH de l’épicerie fine, et disrupter les acteurs en place. Autant que possible je
        chercherai à racheter les usines et les plantations dans le monde entier, pour avoir la main sur toute la
        chaîne logistique et devenir un partenaire indispensable pour Amazon.


        De cette façon je possède des actifs qui prennent de la valeur, je me diversifie, et je peux décider des
        conditions tarifaires que m’imposent les plateformes.

        Il est facile de court-circuiter un revendeur de câbles usb, c’est plus difficile de se débarrasser puis de
        copier-coller une marque plusieurs fois primée, qui a un terroir en propre, un produit unique, et une
        marque forte qui a une place dans le cœur de clients fidèles. C’est tout l’avantage du luxe, il ne sera jamais
        « commoditisé ».


         « Un bon produit peut être éternel […] Steve JOBS m’avait dit – Je ne sais pas si APPLE existera encore dans
        100 ans, ce que je sais, c’est quand dans un siècle on boira toujours du DOM PERIGNON. »

        Bernard ARNAULT






















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