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69 [Famille OLIVIER]. 7 documents. 1559-1589. Pièces sur vélin oblong.
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François OLIVIER. 1487-1560. Chancelier de France sous les rois François Ier, Henri II et François II.
- 1559 Quittance de 37 écus sur les rentes de l’Hôtel de ville de Paris, délivrée par François de Vigny, trésorier.
- 1571 Quittance de 758 livres sur les rentes de l’Hôtel de ville de Paris, pour Dame Anthoinette de Cerisay, veuve
de François Olivier, Chancelier de France.
Jean OLIVIER. †1597. Sieur de Leuville, fils du Chancelier, gentilhomme de la Chambre du Roi
- 1581-1588 Rachat des rentes constituées sur les greniers à sel de Paris, pour la somme de 252 Ecus et 3 quittances
sur les rentes de la ville de Paris.
- 1569 quittance sur les rentes de la ville de Paris, pour Dame Madeleine Olivier, fille du Chancelier de France.
JOINT une copie de l’époque des lettres patentes par lesquelles le roi Henri II nomme le successeur de François
Olivier qui est alors atteint de paralysie ; le roi lui garde conserve cependant ses gages et pensions (janvier 1551,
2 pp. ½ in-folio).
70 Henri de MONTHERLANT. 1895-1972. Ecrivain.
Manuscrit aut. signé « Avant-Propos » ; & 2 tapuscrits corrigés. Février 1963. 4 ff° ½ in-4, nombreuses ratures
et corrections, collage ; sur papier de remploi (correspondance adressée à Montherlant) ; 6 ff° in-4, nombreuses
corrections et 3 ff. in-4.
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Manuscrit en vue d’un article littéraire
ou un service de presse, dans lequel
Montherlant présente sommairement son
œuvre. Il présente ses premiers romans, Le
Songe et Les Bestiaire comme des œuvres lyrique ;
(…) L’auteur ne cherche à montrer que lui-même.
Les autres personnages ont peu d’existence (…). De
1930 à 1932, j’écris le premier de mes romans où
apparaissent d’autres personnages que l’auteur. Il
n’envisage de publier La Rose de sable qu’à titre
posthume. Entre 1926 (Les Bestiaires) et 1930, j’ai
acquis quelque chose. (…) La Rose des sables prétend
être ensemble une étude psychologique, une étude sociale,
la restitution d’une ambiance (…). Il poursuit à
propos des Célibataires, puis des Jeunes filles, dont
un il porte un regard critique, et Le Chaos de la
nuit. (…) Le défaut des Jeune filles est un abus de la
généralisation « Les hommes sont ainsi, les femmes sont
ainsi (…). Sont joint au manuscrit original, le
tapuscrit avec avec de nombreuses corrections
et une mise au propre. Sur un des tapuscrits,
Montherlant demande d’envoyer l’article à Noël
Schumann, etc.
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