Page 91 - Le grimoire de Catherine
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La bibliothécaire se sentit  apaisée et le  regarda. Elle  ne le reconnut pas. Ou était ce grand
            escogriffe  mal  peigné, mal fagoté ?  A sa place se  trouvait un jeune  garçon ressemblant
            trait pour  trait  au  petit garçon   imaginé  par  un aviateur féru de littérature  ou écrivain
            amoureux du ciel et des belles histoires.
            Ils avaient tous deux traversé de drôles de contrées et n’avaient plus peur. Comme l’avait
            écrit le  célèbre poète Borges  « Le Paradis est une bibliothèque ».
























































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