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J’adhère   complètement   à   la   suite   de   ce   texte.   C’est   un
        plongeon vers un effet miroir qui peu mener très loin. Il ne
        faudrait que cela pointe par exemple « qui de la pintade de
        l’œuf ».
        En fait, je vois bien cette fameuse pintade avoir un avenir du
        genre : « Le complexe de la Pintade », ou « la théorie de la
        Pintade », ou « la méthode Pintade », etc.
        Je me demande si cette pintade n’aurait pas, de loin ou de
        près,   une   relation   avec   les   éventements   quantiques   qui
        commencent à se développer de part et d’autre de la planète.





        Froissement   de   souvenir,   une   parcelle   qui   s’évapore   et
        pourtant retenue au détour d’un signe…






        Et l’on devient statufié, une pause indéfinie sur une parcelle de
        temps, car tout s’use.





        Un   texte   comme   des   coups…   bleus…sur   la   langue,   encre
        s’ancre en océan, un palais que la luette explore de mots à
        mots en filet, extase, la voix émet et aime.






        Je suis trop fataliste pour espérer et trop peureux pour ne pas
        y croire. Bref, je finirai comme un âne et en tremblant sous ma
        charge celle de mon ignorance.



        Sous les mêmes pluies aux orages chanceux de se frotter à
        Nous électrique, tout en décharge… de jouissance.
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