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Un moment presque intime où le narrateur dévoile sa pensée
             sur une pluie qui chancelle sur les traits d’une ville.





             Cette   enfance   d’un   morceau   de   bois,   de   fer,   du   génie   de
             l’assemblage,   du   décor   et   de   l’aventure   inventée…   tout   un
             monde de l’imaginaire dans la fenêtre du réel…




             Un sabré de tête-à-tête, possible déraison et l’éclair de lucidité
             du ciel.



             Il   y   a   ce   regard   de   l’autre   et   puis   l’appartenance   à   la
             « meute ». Qu’est-ce qu’être soi si ce n’est la partie sculptée
             par les autres et notre propre sculpture.




             Pied de grue du temps, au boulot le chemin se déploie…




             Et l’ombre dans son coin de bougie pleure sa poésie en gris
             neige sur la glace de la ligne… tranchante.






             L’amour ? Ce n’est pas une onde qui traverse, que l’on ressent
             et   dont   il   est   rarement   possible   de   la   saisir ?   C’est   une
             définition ancienne…



             Blessures… pour les vivants à la plume… rien n’y fait… ils sont
             tous morts… les premiers…
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