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s ’ est éclairci sur les Pays-Bas, de sorte que la Luftwaffe allemande a eu une très
bonne visibilité et a commencé à intervenir à pleine puissance. Ainsi, Market Garden était la

seule opération alliée dans le nord-ouest de l ’ Europe avec la supériorité aérienne alleman-

de, principalement en raison de conflits internes alliés. Les chars du XXX Corps continuèrent

à rouler vers Eindhoven. La 213e brigade reste à Valkenswaard pour assurer la sécurité, et

les unités restantes se dirigent vers Helmond, à l ’ est d ’ Eindhoven. Cependant, les Alle-
mands « Walther » mirent fin à l ’ avance pour le moment en forçant les chars à s ’ arrêter et

en résistant. Pendant ce temps, à Eindhoven, les unités de la 101e division aéroportée améri-

caine avaient la situation en grande partie sous contrôle et, avec l ’ aide de la résistance

néerlandaise, chassèrent les quelques soldats allemands de la ville. Ils atteignent le pont dé-

truit à Son et commencent à construire un pont. Une tentative de capture du pont de Best
échoua, car il avait récemment été détruit par la 59e division d ’ i nfanterie allemande. Alors

qu ’ ils étaient à Nimègue, les Américains tentèrent encore et encore de capturer le pont sur

le Waal, au sud-est d’ A rnhem, les soldats du groupe de combat Frundsberg traversent un

pour atteindre Nimègue. Les premières unités du commandement général de Feldt atteignent

également leur site de déploiement et commencent à attaquer les hauteurs de Groesbeek. Le
général von Tettau, en route vers Renkum à l ’ ouest d ’ Arnhem, ramassa tous les soldats

allemands qu ’ il rencontra et attaqua les Britanniques de cette région. À Arnhem même, la

bataille entre les Britanniques pour Frost et le groupe de combat SS « Knaust » a été achar-

née et féroce. Des unités allemandes sont également venues de Nimègue au nord d ’

Arnhem et ont pris la bataille avec les unités de Frost. Ils n ’ avaient des rations que pour 48
heures et leurs munitions n ’ étaient pas illimitées. Le temps a travaillé pour les Allemands,

qui ont continué à réussir à transférer des renforts d ’ Allemagne vers la zone de combat.

Browning n ’ était pas très conscient de ces problèmes, car il y avait toujours des difficultés

avec les connexions radio aux unités. Il a donc fallu utiliser d ’ autres possibilités de commu-

nication.