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#74233_efi-ab - 74233_pnim_efi-ab | 11 - B | 18-06-07 | 10:57:07 | SR:-- | Yellow 74233_efi-ab - 74233_pnim_efi-ab | 11 - B | 18-06-07 | 10:57:07 | SR:-- | Magenta 74233_efi-ab - 74233_pnim_efi-ab | 11 - B | 18-06-07 | 10:57:07 | SR:-- | Cyan 74233_efi-ab - 74233_pnim_efi-ab | 11 - B | 18-06-07 | 10:57:07 | SR:-- | Black
très vite, il s’exclama : « Aaaaaah ! Aaaaah ! »
L’eau étant très chaude, le petit Aharon s’écria : « Oy ! Oy ! » Mais
Aharon de Belz accompagna son père, Rav Issakhar Dov au mikvé.
Un matin, alors qu’il n’était encore qu’un jeune enfant, Rav
traits de caractère.
obstacles comme des opportunités de grandir et d’affiner ses
embûches de manière positive, s’il parvenait à considérer les
par le découragement. Il pourrait pourtant envisager toutes ces
naturellement tendance à se laisser envahir par la colère, voire
Confronté aux multiples défis de l’existence, l’homme a
tous.
ainsi qu’une multitude d’autres tribulations constituent notre lot à
les problèmes financiers, des relations qui se dégradent,
souffrance physique, les bouleversements émotionnels,
’existence est jalonnée de toutes sortes de difficultés. La
L
l’existence
Affronter les défis de
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Matière à réflexion (Traité Érouvin 3b) exacte, et une ama joyeuse est une mesure généreuse. ’après la Guemara, une ama triste est une mesure La joie est contagieuse D’après Rav Israël Salanter, le visage d’une personne est Les émotions étant contagieuses, nos sentiments influencent La s
Le Baal Chem Tov a dit : « La crainte du Ciel sans sim’ha
équivaut à une profonde tristesse. »
Les ‘hassidim encouragent les danses et les boissons
68 alcoolisées, tandis que le moussar déconseille parfois de
verser des larmes. (Rav Israël Salanter, Tenouat HaMoussar)
La joie intérieure La joie élève, et la crainte soumet. Qu’est-ce qui peut

I il est relativement simple d’accéder à la joie intérieure. Le garantir que la joie ne tourne pas à la frivolité ? C’est la crainte
du Ciel.
problème est que nous voulons être plus heureux qu’autrui.
Or, cet objectif est très difficile à atteindre, car nous pensons
toujours que l’autre est plus satisfait que ce qu’il est réellement.

Beaucoup d’individus sont malheureux parce qu’ils évaluent
leur bonheur en comparant leurs performances à celles de leurs
pairs. Persuadés qu’eux seuls ont le droit de réussir, ils considèrent
l’existence comme une compétition dont ils doivent être les
vainqueurs incontestés.

Pour surmonter ce facteur de mécontentement, nous devons
modifier notre perception des choses et travailler nos traits de
caractère. Il est déprimant de passer son temps à regarder par-

dessus son épaule pour vérifier que personne ne nous rattrape !
Les comparaisons sont contre-productives et démoralisantes.
Concentrons-nous sur nos propres progrès, non sur ceux des
autres.

SIM'HA 331