Page 26 - Grimoire de Sorcellerie et Manichéisme
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Note synthétique
MIAULT Thomas 1re L2
J’ai commencé les TPE le tout premier jour de la rentrée, le lundi 4 septembre
2017. Je n’avais alors aucune idée de quels seraient mon groupe et mon sujet, ou à
quoi ressemblerait ma production finale. Mon groupe, composé de Solenn Guisquet,
Clarisse Anglade et moi-même, Thomas Miault, a finalement porté son choix sur un
sujet que nous avons trouvé aussi original qu’intéressant: Le manichéisme dans la
sorcellerie occidentale et à travers l’œuvre Harry Potter de J.K Rowling. Ce sujet
rentre dans le thème « L’aléatoire, l’insolite, le prévisible » et nous l’avons traité
de façon à parler de littérature et d’histoire. Il nous a permis d’aborder des thèmes
connus comme la sorcellerie d’une autre façon, en nous posant la question: L’œuvre
Harry Potter de JK Rowling offre-t-elle une représentation manichéenne de la
sorcellerie occidentale ?
Il nous a fallu du temps pour trouver le sujet définitif de notre TPE. En
effet, chacun avait ses idées au départ, ce qui, pendant la première séance, a mis
notre groupe en désaccord. Nous avions même décidé de traiter d’un sujet très
différent, sur Jules Vernes et ses œuvres. Cependant, parler du sujet de la
sorcellerie, et plus précisément de Harry Potter, nous a tous séduits lorsque Solenn
l’a proposé. Nous avons tout de même effectué, en groupe, certains changements
visant à préciser notre domaine de recherche. C’est de là qu’est apparue l’idée
d’aborder le manichéisme dans le monde des sorciers. Je n’ai pas trouvé moi-même
cette idée, mais j’y ai tout de suite adhéré car je trouve ce sujet original, sortant
du cadre des domaines étudiés en cours. Cette originalité est, pour moi, très
importante car elle rend le sujet plus intéressant, que ce soit pour nous, réalisateurs
du TPE, ou pour le jury qui le lira. De plus, Harry Potter est l’un des premiers
romans que j’ai lu, c’est donc une œuvre que j’affectionne tout particulièrement. Ce
sujet m’a permis de redécouvrir sous un autre angle cette saga mondialement
connue, tout en enrichissant mes connaissances en matière de littérature ou
d’histoire. Le temps qu’il nous a fallu pour trouver notre sujet est aussi dû à la
recherche de la problématique. Nous avons en effet réécrit celle-ci un grand nombre
de fois pour essayer de la rendre la plus concise et intéressante possible.
Nous n’avons donc pas réussi à définir très tôt notre sujet. De plus, nous n’avions
pas de plan divisant la production finale en parties. Ce plan s’est heureusement
imposé à nous au fur et à mesure de nos recherches. Personnellement, j’ai
principalement eu l’idée d’une de ces parties qui parle des emprunts de J.K Rowling
à des oeuvres existant avant qu’elle écrive Harry Potter. Cependant, la majorité de
ces différents axes ont été trouvés après maints débats, collectivement.
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