Page 50 - LETTRES AMICALES ET AMOUREUSES
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INCERTITUDES.

                              Elle est merveilleusement belle et moi si commun, si simple !
                                    Je ne sais toujours pas, pourquoi la première fois,
                                        J'ai pressenti qu'elle pourrait m'aimer et,
                                                Oublier mon âge avancé.
                                  Ce serait pour moi ce qui pourrait m'arriver de mieux.
                            De toute façon ce n'est pas un rêve et à souffrir, autant me libérer.
                                         Bien entendu cela ne dépend que d'elle,
                                  Mais moi il y a longtemps que je suis prêt à la cajoler,
                                     Car depuis 18 ans, déçu par tant de médiocrité,
                                 J'avais décidé de ne plus aimer, me refusant à être aimé.
                                          Tout chez cette magnifique personne,
                                  Sa beauté, son intelligence, bref, ses énormes qualités
                                             M'ont troublé au fils des jours.
                                   Pourtant avec elle je ne recherchais qu'une Amitié,
                                          Sincère et dénuée de toute ambiguïté.
                                 Aujourd'hui, je me rends compte que je me suis trompé.
                                                Je lui avais écrit un jour :
                                L’Amitié avec un grand A, se conjugue comme le grand A
                                           Du plus tendre autre mot, Amour !
                                      Maintenant ces curieux mots, "je vous aime",
                                        Que je n'arrive pas à exprimer oralement,
                                     Me tenaillent si fort, que mes nuits et mes jours
                                         Sont emplis d'espérances non assouvies.
                                     Mon cœur et mon pauvre corps en sont meurtris
                                         Car, son image ne quitte pas mon esprit.
                                           Elle est le soleil qui irradie ma vie.
                                           Pourtant, je sens qu'elle m'échappe
                                       Car je ne dois pas être le premier à lui dire
                                   Qu'elle est merveilleusement, divinement très jolie.

                                                Alejandro Alé 15/10/2007
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