Page 310 - Encyclopédie des paroles prohétiques traduites - partie 1
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)هـ 1438 – ةجلحا وذ 30 (
cela…)} » C’est-à-dire : de nous avoir facilité le fait de هناحبس للها للاج مظعب راعشإ ريركلتا قيو )تارم
monter ces animaux {(… alors que nous n’étions pas
capables de les dominer.)}. « Puis, il prononça trois fois بألداب رومأم وهو هردق قح للها ردقي لا دبعلا نأو
: « Louange à Allah ! » (« Al-ḤamduliLlâh ») » : Une )تارم ثلاث بركأ للها ،هتعاطتسا بسح هتعاط قي
louange non limitée par quoique ce soit. Il répéta cela : يأ )كناحبس لاق مث( ،كلذ قي ةغلابملل ريركلتاو
« trois fois » car en cela, il y a le fait de ressentir la ً ً
grandeur et la majesté d’Allah, l’Exalté. En effet, le مدعب )سيفن تمل ظ نيإ( ،اقلطم اسيدقت كسدقأ
serviteur ne considère pas Allah à Sa juste valeur tout ةمعلنا هذه ركش قي يرصقلتا دوهشل كقبح مايقلا
en sachant qu’il doit Lui obéir constamment selon sa
capacité. « Puis, il a dit : « Allah est le plus Grand ! » (« يأ )مي رفغاف( ةرظن وأ ةرطخ وأ ةلفغب ولو مىظعلا
Allahu Akbar ») autant de fois. C’est pour bien insister. لا هنإ( اهيلع باقعلاب ةذخاؤلما مدعب بيونذ ترسا
« Ensuite, il a conclu en ces termes : « Gloire [et Pureté]
à Toi (« Subḥânak ») ! » C’est-à-dire : je Te reconnais فاترعلااب ةراشإ هيفو )تنأ لاإ بونمذا رفغي
d’une perfection absolue. « Je me suis fait du tort à moi- )ليقف كحض مث( هيرثكتو للها ماعنإ عم هيرصقتب
même… » : En ne m’acquittant pas de Tes droits étant نم هححصم ةخسن قيو ،ة عيبر نبا لاقف :يأ
donné le faible remerciement que je T’ai montré pour
cet immense bienfait, même si cela avait été fait par ءشَ يأ نم يننمؤلما يرمأ اي( » تلقف « » لئامشلا «
distraction, ou par une pensée, ou bien par un regard. هنع أشني امم هنم بجعتي ام رهظي مل الم )تكحض
« Alors, pardonne-moi… » : Cache mes péchés et ne
m’en tient pas rigueur en me châtiant pour les avoir لهاؤس على هءادن مدقو هببس نع همهفتسا كحضلا
commis. « …car nul en dehors de Toi ne pardonne les تصربأ يأ )تيأر :لاق( ،باطمخا قي بدمأا وه امك
péchés ! » : Il y a en cela une reconnaissance de sa قي ركمذاو بوكرلا نم )تعنص امك عنص بيلنا(
déficience face aux nombreux bienfaits qu'Allah lui a
procurés. « Ensuite, il se mit à rire, alors on lui ءشَ يأ نم للها لوسر اي :تل قف كحض مث( هنكامأ
demanda : … » C’est-à-dire : ‘Alî ibn Rabi’ah s’exclama ركذت المو ،)بجعي هناحبس كبر نإ :لاق( )تكحض
comme cela a été mentionné dans le manuscrit ه
authentifié : « Ash-Shamâ’il ». « Qu’est-ce qui te fait هشربف هركش ديزم بجوأ كلذ هنع للها ضير علي
rire, ô commandeur des croyants ? » : Lorsqu’il يرغ هنإف ديلقت درمج هكحض نأ لا ،كحضف
constata qu’il n’y avait rien d’étonnant qui pouvait le
pousser à rire, il l’appela et lui demanda avec politesse ةفاضإ )هدبع نم( له فكلتي دق نكا نإو يرايتخا
dans ses propos, quelle en était la raison ? « Il répondit لاق يأ :)ملعي بيونذ مي رفغا بر لاق اذإ( فيشرت
ً
: « J’ai vu… » : De mes propres yeux. « … le Messager . )ييرغ بونمذا رفغي لا هنأ( لف غا يرغ المعا كلذ
d’Allah (sur lui la paix et le salut) rire comme je viens
de le faire… » : En montant sur cette monture et en
prononçant cette invocation. « Alors, je lui ai demandé
: « Qu’est-ce qui te fait rire, ô Messager d’Allah ? » Il
me répondit : « Ton Seigneur, Exalté soit-Il, se réjouit
… » En effet, lorsqu’Alî ibn Abî Ṭâlib (qu’Allah l’agrée)
se rappela ce moment, il se mit à rire par remerciement
et non par simple imitation, même si parfois on peut se
forcer à rire. « … de Son serviteur… » : C’est une
annexion qui souligne le mérite du serviteur auprès de
son Seigneur. « … qui dit : « Pardonne-moi mes péchés
! » sachant… » : Avec science et sans être distrait. « …
que nul en dehors de Lui ne pardonne les péchés ! »
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تافصلاو ءامسمأا ديحوت > لجو زع للهاب ناميلإا > ةديقعلا :فينصلتا
ةضراعلا روملأل ركاذمأا > ركاذمأاو ةيعدمأا هقف > بادلآاو لئاضفلا
. دحمأو يذمترلاو دواد وبأ هاور :ثيدلحا يوار
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