Page 156 - Constant, Alphonse-Louis (1810-1875). Dogme et rituel de la haute magie (Nouv. éd.) par Eliphas Lévy. 1930.
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LE  TRIANGLE  DE SALOMON.      i&7
                   libre universel de t'être base sur la nécessité et
                   sur la  liberté,  sur la fixité et le mouvement;  c'est
                   la démonstration du levier universel cherchée
                   vainement  par  Archimède. Un savant  qui  a em-

                   ployé  tout son talent à se rendre obscur, et  qui  est
                   mort sans avoir voulu se faire  compt'endre,  avait
                   résolu cette  suprême équation,  retrouvée  par  lui
                   dans la  cabale,  et  craignait par-dessus  tout  qu'on
                   ne  pût savoir,  s'il  s'exprimait plus clairement,
                    l'origine  de ses découvertes. Nous avons entendu
                    un de ses  disciples  et de  sesadmirateurss'indigcer,
                    peut-être  de bonne foi, en l'entendant  appeler
                    cabaliste,  et  pourtant  nous devons  dire,  à la  gloire
                    de ce savant, que  ses recherches nous ont considé-
                    rablement  abrégé  notre travail sur les sciences
                    occultes,  et  que  la clef de la haute cabale  surtout,
                    indiquée  dans le verset occulte  que  nous venons
                    de citer,  a été doctement  appliquée  à une réforme
                    absolue de toutes les sciences dans les livres
                    d'Hœné Wronski.
                      Lavertu secrète des  Evangiles  est donc contenue
                    dans trois mots, et ces trois mots ont fondé trois

                    dogmes  et trois hiérarchies. Toute science  repose
                    sur trois  principes,  comme le  syllogisme  sur trois
                    teraies. Il  y  a aussi trois classesdistinctes ou trois
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