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A l’arrière on trouve un jardin à la française encadré de tilleuls et de quatre petits
pavillons destinés primitivement à l’écuyer, au veneur, au jardinier et au fermier.
L’EGLISE NOTRE-DAME-D’ANDÉ
De l’édifice existant en 1207 dont le patronage fut donné aux religieux des Deux
Amants par Roger de Roncherolles ne restent plus que quelques éléments de base
conservés lors de sa reconstruction au XVIIe siècle. Les murs sont en silex et moellons
calcaires sans contreforts et percés de baies carrées. Un clocher en charpente est élevé
à la jonction de la nef et du corps. S’il n’était la délicate situation de l’édifice, et deux
de ses ornements, rien ne nous retiendrait auprès de cet édifice sans caractère.
Le premier de ces éléments est la très intéressante croix hosannière (calvaire)
qui se trouve dans le cimetière à la façade méridionale de l’église. Cette croix, du XVIe
siècle comporte, malheureusement en très mauvais état, de remarquables
représentations de crânes.
Quant au second, il s’agit d’une vierge à l’enfant, en pierre de la fin du XVe
siècle. C’est l’un des rares témoignages locaux du début de l’art marial de style
Renaissance.
LE MOULIN D’ANDÉ
L’ensemble architectural le plus remarquable de la commune d’Andé est bien
évidemment son moulin.
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