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Il s’écarta et montra l’épaule droite nue, plaine de sang, de la
jeune femme.
Là, a même la peau était gravé une croix. Pas tatouée, pas
peinte mais gravée a vif, un frisson parcouru les hommes.
-J’ai vu de mes propres yeux dit Garcin en se grattant le
cuir chevelu, comme pour chasser l’image. Elle n’était Pas là,
avant, je suis certain et d’autre à côté de moi peuvent en
témoigner.
Le père Roland qui venait d’arriver avec Constance
s’approcha pâle comme de la pierre. Il se pencha touchant
doucement le bord de la croix, bénit la jeune femme,
Moi aussi je peux en témoigner nous avons un groupe
d’homme qui s’enfuyaient répondit un sapeur.
Eloïse revenu sur les lieux couvrit la servante d’un manteau et
déclara fermement :
-cette croix ce n’est pas un hasard.
Quelqu’un a voulu envoyer un message aux pèlerins soit
aux byzantin.
Marie réfléchit et si n’était pas un message ? Et si c’était un
signe divin, ou un avertissement.
Elvire resta silencieuse, mais ses yeux allait de Marie a la
servante de la croix à la prière muette du père Roland.
Marie s’approche lentement de la jeune femme.
La servante la regarde dans les yeux, elle ne parlait toujours
pas, mais posa la main sur son propre cœur, puis celui de
Marie. RENA - Les Compagnons Forgerons
-Que veut-elle dire demanda Alazaris à mi-voix.
Constance répondit avec une voix à peine audible.
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