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table ronde

                                                             QUOFI













































              Nicolas Gros (Bosch) : J’ai trouvé les échanges très          duits, la communication, les shopping-shops. Bref, de
              courtois,  très  policés,  bien  structurés.  Ce  fut  donc   la communication simple, rapide, claire et sobre pour
              une réunion plutôt à l’allemande qu’à la française,           que l’artisan puisse se repérer très rapidement.
              mais dans le bon sens du terme. du fait qu’ont régné
              respect et courtoisie, cela nous a permis justement           Philippe  Nantermoz  (Legallais)  :  J’ai  beaucoup
              d’aborder  des  thèmes  que  nous  n’aurions  pas  for-       aimé la matinée. nous avons eu des échanges inté-
              cément abordés sans ce contexte, lesquels sont les            ressants. Je retiens surtout la partie formation, j’ai-
              enjeux de demain. C’est uniquement par l’échange,             merais  bien  aussi  que  nous  développions  l’idée  de
              comme on a pu le faire aujourd’hui et par la mise en          consigne pour les batteries électroportatives. Je suis
              commun de nos ressources qu’on arrivera à les rele-           persuadé que 30 € ne serait pas suffisamment pénali-
              ver. Bosch s’inscrit dans cette optique.                      sant pour gêner la vente de produits qui valent plutôt
                                                                            200 ou 300 € minimum et 30 € c’est pourtant une
              Hugues Guyot (Spax France) : C’était une première             batterie que l’on rapporte. Un artisan ne la jettera pas
              pour moi et je me rends compte que cela a été un              et le fait de la rapporter crée une opportunité pour
              vrai moment de partage. au-delà de la qualité des             nous de vendre un autre appareil, donc c’est vraiment
              interventions de chacun, je retiens surtout le fait que       une idée qui me plaît très fortement. Si ce principe
              tous les intervenants, fabricants, distributeurs, utili-      pouvait être un des acquis de cette journée, ce serait
              sateurs, ont pu se dire les choses sans arrière-pensée,       parfait.
              avec en plus cette volonté de trouver des solutions.
              Il est clair que tout bouge très vite et si nous ne re-       Frédéric Ducloyer (Uniq) : J’ai beaucoup apprécié
              nouvelons pas fréquemment ce type de réunion, je              les échanges, en particulier sur les besoins des arti-
              pense que certains risquent de passer à côté de bien          sans  et  la  nécessité  pour  les  fabricants  d’organiser
              des choses. C’est en tout cas ce que Spax s’efforcera         une communication sur les propriétés des produits
              d’éviter.                                                     qui  permette  la  comparaison,  qui  soit  réellement
                                                                            utile d’une manière ou d’une autre.
              Cyril Lainé (Quincaillerie Aixoise) : Je vous remer-
              cie pour la qualité des échanges, la transparence. Je         Marie-José Nicol (Bricomag) : Merci à vous tous
              retiendrai les façons de faire passer le message des in-      d’être venus et d’y avoir cru. Pour une première, c’était
              dustriels fabricants à un artisan et nous notre rôle de       vraiment très bien et d’un très bon niveau et donc je
              distributeur, la formation, la mise en avant des pro-         compte sur vous l’année prochaine. n



                                          Bricomag N°241        62  DÉCEMBRE/JANVIER 2020
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