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-   Notre  site Web  qui  est  bon,  bien équipé,  avec  beaucoup  d’informations  claires,  doit
                           cependant être amélioré.
                           Exemples :

                           •  Mathias (notre chatbot) est un peu trop caché sur le site et doit être plus visible
                           •  un client doit pouvoir télécharger de façon plus détaillée l’offre de produits et pas
                               seulement une synthèse.

                        -   Le « client » reconnaît que nos conseillers CC/BR sont sympathiques, accueillants, qu’ils
                           connaissent leur métier, et que ce sont des experts dans leur domaine.

                           Cependant, le « client » trouve que l’entretien est un peu mécanique. Il doit y avoir un
                           peu plus d’empathie.

                        -   Il faut également mieux sonder les besoins du client afin d’y répondre. Le check up du
                           portefeuille n’est pas fait systématiquement.

                        -   Les options numériques ne sont pas assez explicitées (appli, zone client).

                        -   Lors  des  mises  en  concurrence  de  nos  offres,  nous  devons  trouver  une  procédure
                           standardisée afin que la réponse donnée soit identique quel que soit le collaborateur
                           (avoir un fil rouge).

                           Nous devons mieux suivre les interrogations du client dans le suivi des offres de prix, des
                           devis, etc. Ceci n’est pas systématiquement fait, et parfois même … pas du tout.

                        La  plupart  des  choses  sont  connues,  et  il  faut  réaliser  quelques  développements
                        informatiques.  Il  faudrait  créer  un  « passeport  numérique »  du  client,  afin  d’aider  les
                        agents/conseillers à mieux le guider.

                        Des formations sont déjà prévues, et des étudiants ont été engagés pour prendre contact
                        avec la clientèle.

                 La Direction nous informe que la deuxième phase du Mystery shopping est envisagée pour Mobility.
                 Elle recherche actuellement une société externe pour nous accompagner.
                 Le marché a peu d’expérience en Mystery shopping pour le sinistre, et cela nécessite plus de temps
                 pour le préparer.
                 Il y a très peu d’assureurs directs, et la plupart du temps, le client contacte directement son courtier.
                 Par ailleurs, en claims, le processus est plus complexe et différent que pour une demande de prix.

                 La Direction espère pouvoir débuter début 2023 après une bonne préparation.

                 Le  premier  processus  de  Mystery  shopping,  ainsi  que  l’Audit  interne,  ont  permis  de  mettre  en
                 évidence l’importance de l’empathie, et cela le sera d’autant plus pour les victimes d’un sinistre.

                 La Direction insiste sur la nécessité de se mettre à la place du client.
                 Le dernier rapport de l’Ombudsman fait ressortir que nos délais d’indemnisation d’un sinistre sont
                 trop longs. Il y a donc des choses à revoir.

                 Un délégué du personnel précise que lorsque les délégations syndicales ont été informées en mars
                 dernier,  nous  avions  déjà  fait  part  de  nos  réserves.  Nous  avions  également  demandé  un  bon
                 accompagnement des collègues. Qu’en est-il des réactions du personnel concerné ?


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