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Cependant, cette barrière mise en place par la colonne
La Torah rapporte que durant le voyage des Hébreux
De manière suspicieuse, quelque chose de similaire se
Retournons donc ensemble au début de la genèse. Juste
Création et non-Création
L’ExodE à côté duquEL vous avEz faiLLi passEr dit le texte : elle séparait également les ténèbres de la lumière. Comme le groupes de personnes ; de manière absolument fascinante, ne se contentait pas d’établir une séparation entre les deux (Exode 14:20). une barrière entre

cette idée doit, d’une manière ou d’une autre, trouver un écho Point de transition
dans la dernière partie de cette grande fresque : à la Mer des
Joncs. Revenons à présent sur un plan plus général nous offrant

allons donc nous tremper les pieds. une certaine perspective sur ces questions.
Si l’on considère les événements miraculeux de l’Exode
comme un tout, nous pouvons constater qu’ils ont été conçus
pour atteindre deux objectifs : libérer Israël et démontrer
l’existence d’un Créateur. À présent, posez-vous la question
suivante : si votre existence, en tant que peuple, devait voir
le jour grâce à des événements d’une telle magnitude et
importance, seriez-vous capable d’établir une séparation
entre votre propre liberté nationale et la signification des
événements miraculeux vous ayant apporté cette liberté ?
Serait-il même juste de séparer ces deux notions ?

Si D.ieu S’est révélé Lui-même en tant que Créateur en
vous faisant sortir de votre esclavage et en vous libérant, vous
voudriez, à votre tour, conférer, d’une manière ou d’une autre,
ce don de liberté au Créateur. Mais comment faire ? Qu’est-il
possible de réaliser pour le Créateur qu’Il ne peut accomplir
Lui-même ? Le Korban Pessa’h constitua le début de la
tentative d’Israël de répondre à cette question. Il suggéra une
volonté de la part d’Israël d’accomplir un acte profondément
personnel en faveur du Créateur, de jouer un rôle particulier
au sein de la « famille » de D.ieu, un rôle contribuant à
resserrer les liens familiaux. Il témoigna de leur volonté à être
le békhor de d.ieu, son « premier-né ».

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