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d’entreprendre. Ils sont, par contre, perpétuellement à la recherche de signes
de reconnaissance »

Ma génération est donc la Z.
Cela vient de « horiZontal », car ils envisagent un management d’égal à égal.
En effet, ces jeunes déclarent qu’ils respecteront leur supérieur, non pas en
fonction de son diplôme ou de son autorité mais plus en fonction de sa
capacité d’entreprendre, de confiance et d’écoute.

La génération Z est parfois incomprise par les entreprises et les générations
d’avant. Mais pourquoi ? Comment manager cette nouvelle génération ?
Les jeunes issus de la génération Z ne supportent pas ou du moins ne
supportent que très peu les liens hiérarchiques fort avec leurs supérieurs.
Conséquences de cela : ils sont mal vus et connus comme des personnes
paresseuses, et peu fiables dans le monde de l’entreprise. Or il n’en est rien,
du moins selon mon avis.
Aujourd’hui, les jeunes de la Génération Z sont en train de révolutionner le
monde entrepreneurial : ils sont « freelance nés » et ils veulent changer le
fonctionnement du travail. Parce qu’ils ne peuvent pas travailler de façon
traditionnelle, ils veulent changer quelques aspects de l’entreprise
traditionnelle.

• 68,5 % se voient travailler à l’étranger

• 72 % veulent être fiers d’eux-mêmes, peu importe le
regard des autres

• 47% aimeraient créer leur propre entreprise

• 84,5% choisiront leur métier par passion

• 40% valorisent le bon réseau contre 24% le bon diplôme

• A poste égal, 25% choisiraient l’entreprise la plus fun

Source : enquête du Boston project et BNP Paribas - 2015
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