Page 119 - LETTRES AMICALES ET AMOUREUSES
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DEBUT OU FAIM D'AMOUR


                                   Si tu savais, si tu le voulais, tu comprendrais
                                     Que tu es le souffle nécessaire à ma vie,
                                     Mieux, à la survie d'un être malheureux.
                                  Si vraiment tu le désires, tu te rendras compte
                             De la puissance de mon Amour, celui que je te réserve.
                   Parfois je me demande si tu es mon Ange, mon Démon ou ma Sorcière.
                         Peut-être les trois à la fois car pour moi, tu restes un Mystère.
                       Une chose est certaine tu es ma Bienfaitrice, mon Porte-Bonheur.
                                   Jamais dans ma vie je n'ai connu de femmes
                                        Aussi belles, ou plus belles que toi.
                                    Tu es si douce, si gentille et tellement jolie,
                                   Que je suis prêt à vendre mon âme au diable
                                        Pour que, dans le plus grand secret,
                                  Nous puissions devenir éternellement Amants.
                                      De toute façon, si tu ne peux m'aimer,
                                Ce sera la dernière fois que j'exposerai mon cœur
                               Et mon corps à la vindicte, au mépris et à l'Amour.
                                 A cause de tout cela, j'attendrai avec impatience
                               Que la mort vienne impitoyablement me récupérer

                                        Pour enfin être libéré de seulement
                          Avoir osé penser et fait comprendre que je t'Aime follement.
                             Tu peux me répondre que ce n'est que de la littérature,
                               Mais je veux te persuader que durant toute ma vie,
                                      Je n'aurai aimé autant passionnément
                                Une autre femme que toi, car j'aime toujours plus
                                        Et encore plus que la première fois.
                              Cela me coûte de te révéler cet Amour qui me lamine
                                        Mais pour terminer en apothéose :
                                  Si tu es un Ange, tu es mon Ange protecteur !
                                 Si tu es un Démon, tu es mon Démon de midi !
                              Si tu es une Sorcière, tu es ma Sorcière bien-aimée !
                                          Et si tu veux garder le Mystère,
                                          Il me sera difficile de l'ignorer !
                                Après toutes ces vérités, je souhaite sincèrement,
                        Que cela n'altère en rien notre Amitié, comme tu me l'as prouvé
                                        Et, je te demande de me pardonner
                                    Car peut-être, cette confession t'a choquée.


                                              Alejandro Alé 18/10/2007
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