Page 116 - LETTRES AMICALES ET AMOUREUSES
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TOUT MON AMOUR


                       J'ai espéré t'aimer éternellement,passionnément,fougueusement.
                    Dés les premiers jours où nous avons fait connaissance tu m'as ébloui.
             Ce fut un coup de foudre qui soudain me paralysait,m'anéantissait,me foudroyait.
                    Comme tu es jolie parée de ta remarquable chevelure blonde et frisée.
                    Ton adorable visage sibyllin,orné d'un petit nez fripon et d'une bouche
                 dessinée par de magnifiques lèvres,qu'on voudrait savourer délicieusement,
                                    tout cela me persuadait,que si tu le voulais,
                                   pourrait être mien un jour le reste de ma vie.
                      Mon regard continuait d'entrevoir le reste de ton magnifique corps.
                       Ce jour là je ne parvenais pas à distinguer le galbe de ta poitrine,
                     qui,lorsque tu m'as permis,quelques temps après de te photographier,
                           m'as révélé cette formidable générosité de tes petits seins.
                 Continuant de t'observer malicieusement des hanches aux jambes élancées,
             mon regard s'est arrêté principalement à la cheville où tu arborais un joli bracelet.
             Au fils de nos nombreuses discussions sur nos goûts musicaux sur les chansons à
                     thème,j'ai décidé,malicieusement,de t'offrir le CD de Francis Cabrel
                                             intitulé je l'aime à mourir.
                                  Souviens-toi de ta réponse:Sans commentaire,
                                 ton chanteur préféré était alors Florent Pagny,

                      et parmi ses magnifiques titres,celle que j'aime par dessus tout est:
                                                Si tu veux m'essayer.
                C'est depuis ce jour,que j'ai voulu croire que je pourrais dorénavant enlacer,
                    puis étreindre fougueusement cette magnifique silhouette de personne
                                        rayonnante d'humour et de charme.
                             Étrangement,tu as du mettre fin à notre collaboration
                                       qui m'apportait un adorable soutien.
                           Je ne sais toujours pas,si je t'aime comme une petite sœur,
                         comme une amie que je respecte,ou comme une délicate fleur,
                         que le désir me pousserait à effeuiller,pour avoir avec elle une
                                pulsion charnelle,sexuelle,empreinte du bonheur
                                       que seul l'extase peut nous procurer.
                  Un jour tu m'as dit que tu voyais au regard des autres ce qu'ils pensaient.
                          Ma réponse a été que pour moi c'était le ressenti des autres
                                              au travers de mon cœur.
                     Pour en terminer et en espérant une réponse je désire que tu saches
                           que moi qui n'a ni dieu ni maître,j'aspire à ce que tu sois
                                         mon adorable et unique maîtresse.


                                              Alejandro Alé 28/10/2012
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