Page 58 - LETTRES AMICALES ET AMOUREUSES
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RENE MON AMI


                                Lorsqu’aujourd’hui, je suis arrivé et ai remarqué
                                   Une nouvelle fois, que tu étais accompagné
                                  De cette adorable jeune fille prénommée Josy,
                              Femme de ta vie, que tu as choisie et aimes à l’infini,
                                 J’en étais vraiment, moi aussi, ravi et conquis !
                        Lorsque tu as dit qu’un jour, je devrais te montrer mes poèmes,
                  J’ai tout de suite acquiescé, en sachant qu’il n’y aurait pas de problèmes.
                             Aussi, ne pense pas que, comme tous les poètes, je rêve
                  Car, si aujourd’hui je te dis que votre bonheur me met du baume au cœur,
                          C’est qu’il se lit dans vos yeux et que j’en suis tout heureux
                                Car, bien sûr, moi aussi j’aime intensément la vie.
                                 Je ne sais pas ce que tu vas penser de ce poème,
                        Mais j’espère que, comme moi tu aimes et, jamais avec haine !
                             A toi René mon Ami, si tu m’as compris, je te dédie ceci
                                       Et, je voudrais par la même occasion,
                                             Que cela devienne pour toi,
                                             Comme cela l’est pour moi,
                                         Une formidable et tendre passion.



                                                    Alejandro Alé
                                   ************************************
                                                  RENAISSANCE.


                                      O toi qui ne pensais plus qu'à survivre,
                                Ouvre les yeux et ton cœur à l'Amour qui arrive;
                                 Donne à ton prochain la foi et la joie de t'aimer
                                        Sans contraintes et en toute liberté
                                           Pour que celui-ci, enfin libéré
                                       Puisse à son tour, te cajoler, t'adorer.
                                           Il se sentira si fort, si puissant,
                                 Qu'il puisera dans ses contreforts chancelants,
                                         Le souffle nécessaire à sa survie.
                                               Ainsi, unis dans la vie,
                                        Nous pourrons conquérir ensemble
                                                  Le céleste paradis.


                                                    Alejandro Alé
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