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Odile Goerg / La génération des indépendances                169

          n° 5, 2006, p. 81-109.
          20  Tierno Monénembo, Cinéma (roman), Paris, Seuil, 1997, p. 137.
          21  Sophie Zimmermann, « Le Développement du cinéma comme loisir et lieu de sociabilité au Togo
          (années 1910–2007) », mémoire de Master, Université Paris-Diderot, 2008, p. 111.
          22  Georges Sadoul (éd.), Les Cinémas des pays arabes, Beyrouth, Centre Interarabe du Cinéma et de la
          Télévision, 1966, p. 283 ; Viola Shafik, Arab Cinema: History and Cultural Identity, Le Caire, Presses
          de l’Université Américaine du Caire, 2007 ; Magda Wassef (éd.), Égypte : 100 ans de cinéma, Paris,
          Plume-Institut du Monde Arabe, 1995.
          23  ANS 21G 190. Il s’agit du film « Bilâl mou’adhdhin al-rasoul/Bilal, muezzin du prophète » d’Ahmed
          al-Toukhi, 1953. Vu les tensions franco-égyptiennes, l’affiche est interdite par la suite.
          24  Nafissatou Diallo, De Tilène au Plateau. Une enfance dakaroise, Dakar, NEA-Sénégal, 1997, p. 65.
          25  Djibril Seck, « Le loisir cinématographique à Dakar, 1926–1974 », thèse d’histoire, UCAD, Dakar,
          2008, p. 162.
          26  ANS 21G 192, note du service de renseignement, Gao, 27 août 1957, Mali.
          27  « Pourquoi allons-nous au cinéma? », Bingo, août 1960, n° 91, p. 34-35.
          28  ANS 21G 192, Gao, cité, 1957.
          29  ANS 21G 190, note de renseignements, confidentiel, du 15-11-54 (origine Africaine Libanaise) ; Seck
          « Le loisir… », 2008, p. 153 ;  p. 172.
          30  ANS 21G 199, dossier « 1958 Cinéma, décisions, interdictions ».
          31   ANS 21G 199, idem. 21 films interdits le 12 février 1958 (PV), auxquels s’ajoutent des mentions
          ponctuelles dans d’autres documents d’archives. Pour une étude détaillée, voir Odile Goerg, « Les films
         arabes, une menace pour l’Empire? La politique des films arabes à la veille des indépendances en
         Afrique Occidentale Française », Outre Mers, n° 380–381, 2013, p. 287-312.
          32  Amadou Sow, 24 ans, comptable, « Pourquoi allons-nous au cinéma? », Bingo, 1960.
          33   Peter J. Bloom, French Colonial Documentary: Mythologies of Humanitarianism, Minneapolis,
          Presses de l’Université du Minnesota, 2008 ; James Burns, Flickering Shadows: Cinema and Identity
          in Colonial Zimbabwe, Athens: Presses de l’Université d’Ohio, 2002 ; Glenn Reynolds, Colonial Ci-
          nema in Africa: Origins, Images, Audiences, Jefferson, NC, McFarland & Company, 2015.
          34  Mcfeely « Gone are the days », 2015, p  48 ; http://www.colonialfilm.org.uk/node/332 consulté le 29
          mai 2018)
          35  Rapport de Roger Bagage, directeur du CID (Centre d’Information et de Documentation du Congo
          belge et du Ruanda-Urundi) à Bruxelles, au gouverneur général à Léopoldville du 19 février 1951 cité
          par Convents, Images et démocratie, 2006, p. 95.
          36  Convents, Images et démocratie, 2006, p. 156.
          37  Archives Nationales de Guinée (ANG) 2G 2 dossier IFAN, Jean Brerault, chef du service cinémato-
          graphique, 11 juillet 1958.
          38  Pierre Haffner, « Comment Dakar fonda le cinéma d’Afrique noire. Développement urbain, dévelop-
          pement cinématographique et démocratie », Grossstadtliteratur, Daus Ronald (éd.), Francfort/Main,
          Vervuert Verlag, 1992, p 189 ; Paulin Vieyra, Le Cinéma africain des origines à 1973, Paris, Présence
          africaine, 1975.
          39  ANS 18G 215 (versement 60), dossier 614 GAC, lettre de Sarr du 22 janvier 1957.
          40  ANS VP (Vice-Présidence), 00461, document de 19 p.
          41  Paulin Vieyra, « Discussion », p.15, et « Suggestions pour le développement du cinéma en A.O.F ».,
          Rencontres internationales : le cinéma et l’Afrique au sud du Sahara, Rapport général, Brussels, Ex-
          position Universelle et Internationale, 1958, p. 95-97.
          42  Idem, Acquah, p. 11.
          43  Idem, Sellers, p. 17.
          44  Paulin Vieyra, « Responsabilités du cinéma dans la formation d’une conscience nationale africaine »,
          Présence Africaine, n° 27-28, 1959, p. 303-313 , voir p. 307.
          45  ANS 21G 193, Direction de la sûreté générale de l’AOF, 29 juillet 1947 ; « objet : État d’esprit de la
          population africaine ».
          46  Entretien Diakité cité, 20005 ; informations de Bernard Charles, politologue.
          47  Odile Goerg, Fantômas sous les tropiques. Aller au cinéma en Afrique coloniale, Paris, Vendémiaire,
          2015, ch. « Règlementer, contrôler, censurer ».
          48  McFeely, « Gone are the days »,  2015, p 126 ; Odile Goerg, « Entre infantilisation et répression co-
          loniale. Censure cinématographique en AOF. ‘Grands enfants’ et protection de la jeunesse », CEA,  n°
          205, 2012, p. 165-198.
          49  McFeely, « Gone are the days », 2015, p. 70.
          50  Idem, p. 130
          51  ANS 21G 109, courrier du Haut-Commissaire du 28 février 1941.
          52   Idem ; Ruth Ginio, « La politique antijuive de Vichy en Afrique occidentale française », Archives
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