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MÉDIAS

Médias

En démocratie la règle est : « un homme-une voix ». Elle devrait être
prolongée par l'exigence de la mise à disposition de chacun d'une
information sincère et véritable, sans entortillage, sans sélection de
ce qui arrange et sans occulter, voire ridiculiser ce qui dérange le
journaliste. Des médias se proclamant pourtant pluralistes, ouverts,
se sont laissés infiltrer pas des consommateurs ou des idéologues
mobilisés pour la destruction de notre société ; ils déploient de
grands efforts de désinformation sur le cannabis. Quarante ans de
leurs scandaleuses pratiques ont pollué la connaissance, que nos
concitoyens ont des toxicomanies. On dit que la loi de prohibition,
tout comme la guerre contre les drogues, est un échec. Ç'en serait
un si la guerre avait été livrée ; or, loin de là, elle n'a mobilisé que des
« collabos » au service de la progression de ces drogues. Quant à
prix d'or, la MILDT s'offrait quelques brefs messages de prévention,
si brefs que l'esprit embrumé par le cannabis de ses consommateurs
n'y comprenait rien, quelques jours plus tard la chaîne de T.V. Arte,
en plus d'une heure, parlait de cette drogue d'une façon doucereuse,
ne faisant référence à aucun de ses méfaits. Cette remarquable
anthologie de la désinformation devra être écrite, afin de révéler les
noms de ceux qui ont gravement failli et qui sont ainsi responsables
de l'accroissement du nombre des consommateurs et des accidents
qui en ont résulté. Le journal « Libération » a beaucoup donné ; le
Journal « Le Monde » n'est pas en reste ; sans compter des infiltrats
erratiques de cette pollution dans différents autres titres. La liberté
de la presse s'est, au moins en cette matière, muée en la dictature de
certains journalistes.

Médicament

Le « cannabis-médicament » est une expression qui, de longue date
et dans de nombreux pays, a été mise au service de la banalisation
de cette drogue. Il y a quelques années (mars 2010), les travaux de

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