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cerner ce qui n’a pas été bien saisi (bris de communication)

                             nuancer les propos énoncés (ex. : précisions, reformulations, ajouts)
                             commenter les blocages survenus

                             réfléchir à des facilitateurs de communication

                      iv.  Gérer son anxiété (ex. : trac, timidité, pensées négatives)

                             respirer, se détendre

                             préparer sa prise de parole
                             se donner le droit à l’erreur, dédramatiser

                             se visualiser en situation de prise de parole, se voir réussir



            1.  Alors que la lecture se fait en général pour soi-même et silencieusement, il existe des moments où il est pertinent
               d'oraliser : dire à voix haute (un texte lu ou appris).  Il peut s’agir, par exemple, de mettre en valeur pour autrui ou pour
               un auditoire un texte qu’on a écrit, un passage qu’on a aimé dans un roman, une lettre qu’on a reçue ou encore un
               article de revue, un album, un conte ou un poème. Même si cette activité d'oralisation sous-tend un acte de lecture
               préalable, elle se déroule dans le cadre d'une situation de communication orale.
            2.  Les contextes doivent convenir à l’âge des locuteurs et tenir compte des sujets traités. Des exemples sont suggérés pour
               chacun des cycles, ce qui n’exclut pas la possibilité de recourir à d’autres contextes, peu importe le cycle.
            3.  Les manifestations non verbales empruntent le canal visuel  alors que les manifestations paraverbales empruntent le
               canal auditif.
            4.  La reformulation se distingue de la répétition puisqu’il s’agit de dire la même chose autrement.
            5.  Le terme « visio » s'applique aux  communications électroniques où il est possible de se voir (ex. : visioconférence,
               clavardage avec webcaméra, etc.).
            6.  Le registre familier correspond à la langue de tous les jours (ex. : entre pairs, dans la cour de récréation). Le registre
               standard correspond au français normalisé habituel et courant. Le registre soutenu correspond à un français soigné et
               recherché.
            7.  Expressions figées: expressions toutes faites, souvent régionales (ex. : donner sa langue au chat, perdre le nord).
            8.  Bris de communication: perte de compréhension, distraction, manque d’intérêt, etc.









































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