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B) Les inégalités en politique.





                    En quête du vote féminin, les démocrates n'ont pas de mots
             assez durs contre les républicains qui bloquent, au Congrès, une loi
             renforçant la législation fédérale anti-discrimination.
                    En 2012, aux États-Unis, nous pouvons constater qu'il n'y a pas

             qu’au travail qu'il existe des inégalités, en politique également. Nous
             avons pu constater qu'il y a 16,9% des sièges des différents
             parlements nationaux qui sont occupés par des femmes (dont 16,9
             % des sièges de la chambre des représentants et 17 % des sièges du
             sénat). En 2018, nous pouvons constater que ce nombre a augmenté
             et est passé à 23 % des sièges des différents parlements qui sont
             désormais occupés par les femmes (dont 19,6% des sièges de la
             chambre des représentants qui sont occupés par des femmes. Cela
             est également le cas pour le Sénat où il y a 23% des sièges qui sont
             occupés par des femmes). Les femmes sont plus présentées au
             sénat américain qu'à la chambre des représentants.

             Aux États-Unis, il y a deux grands partis politiques distincts :
             -Les démocrates qui sont pour la parité entre les hommes-femmes.

             -Les républicains qui eux sont plus réticents quant à l’égalité totale
             entre les hommes et les femmes.

             (le président actuel des États-Unis, Donald Trump en est la plus
             grande preuve avec ces différentes insultes proférées contre les
             femmes :

             « Il faut les traiter comme de la merde ».

             D’après lui, les agressions sexuelles au sein de l’armée sont dues au
             fait que l'on « mélange les femmes et les hommes » Ce qui veut dire
             que Donald Trump est contre le fait que les femmes soient dans
             l’armée américaine avec les hommes.

             Après une opposition de l'ex-conseillère de Donald Trump il a tweeter
             :

             When you give a crazed, crying lowlife a break, and give her a job at the White House,
             I guess it just didn’t work out. Good work by General Kelly for quickly firing that dog!












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