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lation que des outils éventuels auxquels faire appel. Donc choisir ses outils et mo-
dèles, c’est choisir le type de changement que vous souhaitez accompagner.

6.4 La transparence sur la nature
et la source des outils de coaching

Les formateurs sont-ils clairs et transparents sur les outils utilisés pendant la forma-
tion et leurs auteurs ? Y a-t-il une tentative d’appropriation des outils intellectuels
conçus par d’autres, soit en oubliant de citer volontairement les auteurs, soit en
apportant une variation de l’outil ? Si ce non-respect de la propriété intellectuelle
peut ne pas compromettre la qualité du processus de formation, il peut altérer la
confiance que vous portez à ses animateurs.

6.5 L’ouverture à d’autres
modèles de coaching

Des positions « intégristes » se retrouvent dans diverses approches. Certaines
peuvent être présentées comme des systèmes fermés, auto-suffisants et comme
la solution unique pour résoudre tous les problèmes humains. Dans le champ de
la PNL certains pourront revendiquer l’usage de la vraie ou de la pure PNL. Le pro-
blème ne vient pas de l’outil ou du modèle mais de ceux qui lui donnent une place
qu’elle n’a pas. Les modèles en sciences humaines, malgré leur diversité, convergent
au moins sur un but commun, celui d’élargir le niveau de conscience des individus.
Revendiquer la supériorité d’un modèle par rapport à un autre a pour effet de rétré-
cir le champ de conscience de l’individu. Les formateurs du coaching respectent-ils
les modèles de coaching qu’ils n’enseignent pas ou n’utilisent pas ? Au-delà des
intérêts commerciaux en jeu, se pose la question du niveau de confiance que vous
allez accorder à l’organisme de formation.

L’école de coaching qui propose une approche « pluridisciplinaire » du coaching
avec l’intégration de plusieurs méthodologies donne certainement un signe d’ou-
verture (ou d’absence de ségrégation intellectuelle) et par conséquence un gage
d’efficacité.

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