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Unité 5 Profession : reporter

Corrigé • des vents violents allaient → aller
a. L’ouragan a dévasté l’île de Saint-Martin. • des vagues mesuraient → mesurer
b. Les maisons sont détruites, de nombreux habitants ont • la petite île française ne ressemblait pas → ressembler
quitté l’île. L’île ne ressemble plus à l’image de la carte postale • on ne comptait plus → compter
de vacances : 95 % de l’île est dévasté, 9 personnes sont • De nombreux habitants quittaient → quitter
portées disparues. • Les autorités ne pouvaient pas → pouvoir
c. Le cyclone a pu être observé depuis la station spatiale • un bilan faisait → faire
internationale.
Le professeur renvoie ensuite les apprenants à la page 72.
Il attire leur attention sur l’encadré détaillant la formation de
Lexique : « Une catastrophe naturelle » 10 min l’imparfait. Il synthétise les informations au tableau et suscite la
Le professeur demande aux élèves répartis en binôme de relever, participation des élèves en leur demandant de résumer ce qu’ils
dans l’article, le lexique en lien avec les catastrophes naturelles. ont compris. Il faut éviter l’utilisation du métalangage dans la
Il procède à une mise en commun puis invite les apprenants à mesure du possible, le but étant de comprendre les mécanismes
consulter l’encadré lexique accompagnant cette activité puis de formation de l’imparfait et ses utilisations principales. Les
complète le travail par l’activité 1 du lexique page 75.
activités de cette page peuvent être réalisées en classe ou à
CLE International
Découverte : Activité 6 30 min 46 la maison selon le temps disponible. L’enseignant insiste sur la
Pour introduire le document sonore, le professeur peut montrer prononciation et réalise les activités de phonétique, 1 et 5
des photos qu’il pourra trouver sur Internet : des photos de page 74 afin d’introduire les différences entre [e] et [ɛ].
Saint-Martin avant le passage d’Irma et des photos de l’île Systématisation : Activité 7 20 min
après Irma. Il demande aux élèves de comparer l’avant de l’après En binôme, les apprenants ont 5 minutes pour préparer leur
et dire les différences qu’ils constatent. Il leur précise que ce dialogue. Ils doivent utiliser le lexique présent dans l’encadré
qu’ils vont entendre est en lien avec ces photos. Il fait procéder « La crainte ». Le professeur insiste sur la réutilisation des
à une première écoute et s’assure de la compréhension globale contenus découverts dans cette leçon tant sur l’aspect lexical
du document (« qui parle ? » ; « De quoi ? » ; « Quelle est la que grammatical. On procède ensuite à une mise en commun.
situation ? »...). Selon la taille du groupe-classe, le professeur interrogera
Le professeur lit la question de l’activité et demande cette fois quelques binômes ou l’intégralité du groupe-classe. Il s’assurera
de prendre des notes de ce qu’ils vont entendre. Au préalable, il de la correction des erreurs éventuelles tant du point de vue
peut demander aux élèves, s’il le juge nécessaire, de relire le texte lexical et grammatical que phonétique. Il ne faut pas hésiter à
de l’activité 5. On procède à une deuxième écoute. Les élèves donner des canevas, si besoin est, aux élèves rencontrant des
ont deux minutes pour comparer et compléter leurs réponses difficultés.
en petits groupes. On procède à une dernière écoute avant que
l’enseignant synthétise au tableau les informations en guise de
correction. On lit ensuite l’encadré lexique « La crainte ». Projet : étape 1 40 min
Corrigé Cette première étape concerne le choix du thème et la situation
Dans son témoignage, Fara exprime sa crainte face au initiale du projet. L’enseignant divise le groupe-classe en sous-
cyclone. Elle exprime ses sentiments : « C’était terrible » ; groupe de 3 ou 4 apprenants. Il lit la consigne et s’assure de
« J’ai eu très peur, je ne pouvais plus bouger. J’étais sa bonne compréhension. À ce stade, les élèves choisissent
terrifiée. » ; « l’angoisse que ça recommence » ; « Nous un thème et doivent justifier leur choix, mais ils ne doivent pas
sommes inquiets. ». encore se soucier de la forme qu’ils donneront à leur reportage.
Pour introduire le point de grammaire (l’imparfait), le professeur Pour les élèves en difficulté et pour ceux qui n’auraient pas
pose la question suivante : « Qu’est-ce que faisaient Fara et ses d’idée, le professeur les guidera en proposant de consulter la
parents quand le cyclone est arrivé sur l’île ? » une de magazines et journaux locaux ou internationaux. Le
choix du reportage ne doit pas se restreindre exclusivement au

Point grammatical : L’imparfait 20 min monde francophone car il est important de laisser une certaine
Le professeur attire l’attention des apprenants sur le temps liberté ; le but est de motiver les élèves en les laissant travailler
utilisé et sur sa formation, notamment sur les terminaisons sur un thème qui leur plaît, qui les intéresse.
utilisées. Les élèves réalisent individuellement l’activité de Un rapporteur est désigné dans chaque groupe ; il est chargé
l’encadré grammaire. Si besoin est et selon les difficultés d’expliquer le choix du reportage ainsi que la description de la
rencontrées par le groupe-classe, cette activité peut être situation initiale. Le professeur aide à résoudre les problèmes
réalisée aussi en sous groupe de 3 ou 4 apprenants. On liés au lexique, corrige les erreurs éventuelles et s’assure que
procède à une mise en commun en groupe-classe. tous les membres du groupe participent activement au projet.
Corrigé Évaluation formative : le professeur propose la grille qui définit
• le cyclone touchait → toucher les critères d’évaluation et les performances attendues.

Le thème est choisi : il est d’actualité, pertinent, suscite un intérêt.
Description de la situation initiale : les réponses aux questions « qui ? » ; « Où ? » ; « Quand ? »
sont clairement énoncées et formulées.*
Justification du choix : chaque groupe présente son choix (fait divers particulier, fait d’actualité
en lien avec la planète, l’écosystème, les arts ) et explique son choix.
* Attention : on attend plus que de simples réponses sous forme de groupes nominaux. Chaque réponse doit être étayée pour donner
suffisamment d’informations sur les personnes, les lieux et l’époque concernés.

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