Page 200 - Al-Mouwatta
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On demanda à Malek au sujet d'une brebis, qui a subi plusieurs fractures. Son propriétaire
avant qu'elle ne périsse, l'égorgea, et le sang coulait, sans qu'elle se meuve. Malek a dit: «S'il
l'a égorgée, alors qu'elle était toujours vivante, et qu'elle bougeait, qu'il mange de sa viande».
Chapitre IV : Le fait d'égorger ce que garde le ventre d'une bête
(1061) 9 - Nafe' a rapporté que Abdallah Ibn Omar disait: «Quand on égorge une chamelle,
l'on doit même égorger le petit qu'elle a dans son ventre, s'il est complètement créé et que son
poil a poussé. Une fois qu'il est retiré du ventre de sa mère, on doit l'égorger afin de laisser le
sang couler de son ventre».
(1062) 10 Sa'id Ibn Al-Moussaiab disait: «L'immolation de ce que garde la femelle des
animaux, se fait à la suite de l'immolation de la mère, s'il a été complètement créé et que son
poil a poussé»
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