Page 188 - LES FLEURS DE MA MEMOIRE ET SES JOURS INTRANQUILLES_Neat
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De retour à l'aéroport de Linate, il fallait remplir quelques formalités de
douanes, et je me retrouvais dans un bureau devant un douanier plus
entreprenant que professionnel, ce qui me fit perdre un temps fou, j'avais beau
lui exprimer ma colère en italien, ce douanier ne changeait en rien son attitude
qui me fit rater le vol sur lequel je devais embarquer. Je le maudissais !
Il fallait donc annoncer cette nouvelle inattendue à Paris. Je téléphonais
donc à l’attaché de presse pour signaler mon vol de retour retardé suite au
comportement fâcheux du douanier, mais le pire restait à venir …
En effet, j'allais bientôt apprendre ce que signifiait le mot italien
« Chopero », que je ne suis pas prête d’oublier, puisque mon aller-retour Paris-
Milan prévu dans la journée allait bientôt se transformer en une aventure
rocambolesque.
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