Page 260 - LES FLEURS DE MA MEMOIRE ET SES JOURS INTRANQUILLES_Neat
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Ma sœur toujours en fonction dans la société me demanda si j’étais
d’accord pour accorder une rencontre autour d’un café, avec les quelques
personnes de la nouvelle équipe, qui souhaitaient vivement me rencontrer, et
savoir comment je procédais au studio, pour entendre tous les jours la
Vicomtesse leur faire des éloges à mon égard, avec tant de regrets.
Je leur répondis :
« Il suffit de posséder un congélateur, un micro-ondes, beaucoup de
passion, mais aucune vie de famille, et surtout faire abstraction de soi » !
Peu de temps s’était écoulé lorsque j’appris que la société avait
définitivement cessé toute activité.
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